L'auteur de violences sur sa compagne (il lui aurait cogné la tête sur le sol) a été placé en garde à vue à l'hôtel de police de Rouen dans la nuit de ce jeudi 30 juin peu après 1 heure du matin.
Les faits qui lui sont reprochés sont graves. Ce rouennais âgé de 28 ans a été interpellé pour avoir frappé violemment sa concubine âgée de 24 ans, a deux reprises consécutives.
Une dispute "sans gravité"
Vers minuit et demi, la brigade anti-criminalité (BAC) est appelée à intervenir place du Général de Gaulle à Rouen (devant la mairie) pour une rixe entre un homme et une femme. Le témoin précise que l'homme est armé d'un cutter.
L'équipage de la BAC arrive sur place. Les policiers procèdent d'abord à un contrôle des identités et constatent que l'homme et la femme sont domiciliés à la même adresse. Ils remarquent aussi que l'homme portent des traces de griffures au niveau du cou. Le couple déclare avoir eu une altercation sans gravité et ne souhaite pas y donner de suite. L'affaire en reste là.
Allongée au sol rue de l'Hôpital
Quelques dizaines de minutes plus tard, nouvel appel sur le 17. Deux femmes déclarent avoir été témoins d'une rixe entre un homme et une femme, rue de l'Hôpital, une rue voisine de la place du Général de Gaulle. Nouvelle intervention policière.
A son arrivée, l'équipage de la BAC constate qu'une femme est allongée sur la chaussée, mais elle affirme avoir chuté accidentellement et perdu connaissance. Les policiers reconnaissent alors la jeune rouennaise contrôlée quelques minutes plus tôt.
Des témoins auditionnés
Alors que les pompiers prennent en charge la victime, les gardiens de la paix recueillent les témoignages des deux femmes qui ont alerté police-secours. Elles donnent une autre version de ce qui s'est passé. Elles indiquent avoir vu l'homme secouer sa compagne et lui cogner la tête à même le sol et contre un porte-vélo métallique. Elles remettent à ce moment-là un cutter ramassé par terre.
Le compagnon est cette fois interpellé et placé en garde à vue pour violences volontaires aggravées. La victime a refusé quant à elle son transport à l'hôpital.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de ces violences.
Les faits qui lui sont reprochés sont graves. Ce rouennais âgé de 28 ans a été interpellé pour avoir frappé violemment sa concubine âgée de 24 ans, a deux reprises consécutives.
Une dispute "sans gravité"
Vers minuit et demi, la brigade anti-criminalité (BAC) est appelée à intervenir place du Général de Gaulle à Rouen (devant la mairie) pour une rixe entre un homme et une femme. Le témoin précise que l'homme est armé d'un cutter.
L'équipage de la BAC arrive sur place. Les policiers procèdent d'abord à un contrôle des identités et constatent que l'homme et la femme sont domiciliés à la même adresse. Ils remarquent aussi que l'homme portent des traces de griffures au niveau du cou. Le couple déclare avoir eu une altercation sans gravité et ne souhaite pas y donner de suite. L'affaire en reste là.
Allongée au sol rue de l'Hôpital
Quelques dizaines de minutes plus tard, nouvel appel sur le 17. Deux femmes déclarent avoir été témoins d'une rixe entre un homme et une femme, rue de l'Hôpital, une rue voisine de la place du Général de Gaulle. Nouvelle intervention policière.
A son arrivée, l'équipage de la BAC constate qu'une femme est allongée sur la chaussée, mais elle affirme avoir chuté accidentellement et perdu connaissance. Les policiers reconnaissent alors la jeune rouennaise contrôlée quelques minutes plus tôt.
Des témoins auditionnés
Alors que les pompiers prennent en charge la victime, les gardiens de la paix recueillent les témoignages des deux femmes qui ont alerté police-secours. Elles donnent une autre version de ce qui s'est passé. Elles indiquent avoir vu l'homme secouer sa compagne et lui cogner la tête à même le sol et contre un porte-vélo métallique. Elles remettent à ce moment-là un cutter ramassé par terre.
Le compagnon est cette fois interpellé et placé en garde à vue pour violences volontaires aggravées. La victime a refusé quant à elle son transport à l'hôpital.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de ces violences.