Il est bien connu des services de police de Rouen, mais, pour autant, il continue à s'adonner à une activité répréhensible : la filouterie.
L'homme dont il est question est âgé de 35 ans. Il est sans emploi et sans domicile fixe mais il loge ici et là à Rouen. Hier soir, lundi, pour la énième fois il s'est retrouvé en garde à vue pour la nuit à l'hôtel de police de Rouen. Pour la énième fois aussi, il a été interpellé après pris un copieux repas dans un restaurant de la ville, à l'enseigne La Pasta Tinto, rue Alsace-Lorraine.
Au moment de payer l'addition - de 48€ - notre homme a clairement fait savoir qu'il n'avait pas d'argent et que, donc, il ne pouvait régler la note. Le gérant du restaurant a signalé les faits à un équipage de la brigade anti-criminalité (BAC) en patrouille dans le quartier. Le client a réitéré aux policiers ce qu'il avait dit au restaurateur. Ramené au commissariat, le SDF devrait faire l'objet d'une procédure pour filouterie avant d'être remis en liberté.
Le mis en cause est un coutumier du fait : il a déjà été interpellé plus d'une dizaine de fois en quelques mois pour le même motif.
La filouterie est punie au maximum de 6 mois de prison et de 7 500 € d'amende, en plus des dommages-intérêts.
Au moment de payer l'addition - de 48€ - notre homme a clairement fait savoir qu'il n'avait pas d'argent et que, donc, il ne pouvait régler la note. Le gérant du restaurant a signalé les faits à un équipage de la brigade anti-criminalité (BAC) en patrouille dans le quartier. Le client a réitéré aux policiers ce qu'il avait dit au restaurateur. Ramené au commissariat, le SDF devrait faire l'objet d'une procédure pour filouterie avant d'être remis en liberté.
Le mis en cause est un coutumier du fait : il a déjà été interpellé plus d'une dizaine de fois en quelques mois pour le même motif.
La filouterie est punie au maximum de 6 mois de prison et de 7 500 € d'amende, en plus des dommages-intérêts.