Photo d'illustration @sos-mon-permis.fr
Bien que frappé d'une annulation de permis, un habitant de Saint-Aubin-lès-Elbeuf (Seine-Maritime) continuait apparemment de conduire sa voiture alors que celle-ci, comble d'ironie, fait l'objet d'une mesure d'immobilisation.
L'automobiliste, âgé de 41 ans, s'est fait prendre dans le courant de la nuit de lundi à ce mardi, peu avant 4 heures, par une patrouille de police-secours. Il est vrai qu'en roulant à vive allure au volant d'une Peugeot 406 dans la rue Buffon, à Rouen, il a tout fait pour se faire remarquer. Les forces de l'ordre l'ont poursuivi jusqu'à ce qu'il s'arrête, après bien des hésitations.
Les policiers ont constaté immédiatement que le conducteur présentait les caractéristiques de l'ivresse. De fait, contrôlé à l'éthylotest , ce dernier a affiché un taux de 1,12 gramme d'alcool par litre de sang. Le quadragénaire a été obligé d'avouer par ailleurs que son permis était annulé. Quant à sa voiture, qui a fini en fourrière, elle faisait l'objet d'une procédure d'immobilisation pour des faits antérieurs.
L'homme a été placé en cellule de dégrisement pour le reste de la nuit à l'hôtel de police. Il devait être entendu ce mardi matin par les enquêteurs de la brigade des accidents et délits routiers (Badr).
L'automobiliste, âgé de 41 ans, s'est fait prendre dans le courant de la nuit de lundi à ce mardi, peu avant 4 heures, par une patrouille de police-secours. Il est vrai qu'en roulant à vive allure au volant d'une Peugeot 406 dans la rue Buffon, à Rouen, il a tout fait pour se faire remarquer. Les forces de l'ordre l'ont poursuivi jusqu'à ce qu'il s'arrête, après bien des hésitations.
Les policiers ont constaté immédiatement que le conducteur présentait les caractéristiques de l'ivresse. De fait, contrôlé à l'éthylotest , ce dernier a affiché un taux de 1,12 gramme d'alcool par litre de sang. Le quadragénaire a été obligé d'avouer par ailleurs que son permis était annulé. Quant à sa voiture, qui a fini en fourrière, elle faisait l'objet d'une procédure d'immobilisation pour des faits antérieurs.
L'homme a été placé en cellule de dégrisement pour le reste de la nuit à l'hôtel de police. Il devait être entendu ce mardi matin par les enquêteurs de la brigade des accidents et délits routiers (Badr).