La victime d'un cambriolage a eu une géniale idée pour parvenir à démasquer celui qui avait dérobé une tablette numérique dans son appartement. Il a installé une caméra de surveillance dans le hall de l'immeuble.
Les faits. Le 5 décembre dernier, un habitant du centre ville de Rouen, sur la rive droite, découvre que son appartement à été visité en son absence. Une tablette numérique a disparu. Pas de trace d'effraction. En fait, la victime devait récupérer ses clefs, laissées à un voisin, dans sa boite aux lettres. Mais, à son retour, la boite était désespérément vide...
Il en déduit alors qu'on lui a dérobé ses clefs d'appartement. C'est ainsi qu'avec l'accord du propriétaire de l'immeuble et des autres locataires, il installe un système de vidéosurveillance lui permettant de surveiller le hall d'entrée et donc les boîtes aux lettres.
Les 14 et 18 décembre, il constate qu'un inconnu qui n'est ni le facteur ni un habitant de l'immeuble ouvre une à une les boîtes aux lettres : il les fouille mais ne vole pas le courrier.
S'agit-il de l'individu qui lui a volé ses clefs et sa tablette ? Il veut en avoir le coeur net. Le 21 décembre, il tend un piège à cet étrange visiteur de boîtes aux lettres. Il dépose dans la sienne un petit colis histoire d'appâter notre homme. Et ça marche !
Dans son écran vidéo, notre "inspecteur gadget" de 38 ans ne tarde pas à voir apparaître l'étrange inconnu. Ce dernier s'empare (presque) comme prévu, du colis et disparaît. S'apercevant après coup qu'il ne contient rien de bien intéressant, le voleur s'en débarrasse un peu plus loin.
Identifié grâce à ce système ingénieux, l'auteur des vols, âgé de 28 ans et domicilié à Canteleu, est finalement interpellé dès le lendemain et placé en garde à vue. Lors de son audition par les policiers du groupe d'appui judiciaire (GAJ) il reconnait les faits et assure avoir jeté la tablette volée, après qu'elle se soit bloquée. Au final, il a reconnu avoir commis - selon ce même procédé - sept vols ou tentatives de vols entre le 5 et 21 décembre.
Il a été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel de Rouen pour le mois de janvier prochain.
Morale de cette histoire : il est prudent de ne pas laisser ses clefs d'appartement dans sa boite aux lettres.
Les faits. Le 5 décembre dernier, un habitant du centre ville de Rouen, sur la rive droite, découvre que son appartement à été visité en son absence. Une tablette numérique a disparu. Pas de trace d'effraction. En fait, la victime devait récupérer ses clefs, laissées à un voisin, dans sa boite aux lettres. Mais, à son retour, la boite était désespérément vide...
Il en déduit alors qu'on lui a dérobé ses clefs d'appartement. C'est ainsi qu'avec l'accord du propriétaire de l'immeuble et des autres locataires, il installe un système de vidéosurveillance lui permettant de surveiller le hall d'entrée et donc les boîtes aux lettres.
Les 14 et 18 décembre, il constate qu'un inconnu qui n'est ni le facteur ni un habitant de l'immeuble ouvre une à une les boîtes aux lettres : il les fouille mais ne vole pas le courrier.
S'agit-il de l'individu qui lui a volé ses clefs et sa tablette ? Il veut en avoir le coeur net. Le 21 décembre, il tend un piège à cet étrange visiteur de boîtes aux lettres. Il dépose dans la sienne un petit colis histoire d'appâter notre homme. Et ça marche !
Dans son écran vidéo, notre "inspecteur gadget" de 38 ans ne tarde pas à voir apparaître l'étrange inconnu. Ce dernier s'empare (presque) comme prévu, du colis et disparaît. S'apercevant après coup qu'il ne contient rien de bien intéressant, le voleur s'en débarrasse un peu plus loin.
Identifié grâce à ce système ingénieux, l'auteur des vols, âgé de 28 ans et domicilié à Canteleu, est finalement interpellé dès le lendemain et placé en garde à vue. Lors de son audition par les policiers du groupe d'appui judiciaire (GAJ) il reconnait les faits et assure avoir jeté la tablette volée, après qu'elle se soit bloquée. Au final, il a reconnu avoir commis - selon ce même procédé - sept vols ou tentatives de vols entre le 5 et 21 décembre.
Il a été remis en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel de Rouen pour le mois de janvier prochain.
Morale de cette histoire : il est prudent de ne pas laisser ses clefs d'appartement dans sa boite aux lettres.