Deux hommes âgés de 36 et 38 ans devaient être mis en examen ce mardi dans la matinée pour meurtres avec préméditation par un juge d'instruction de Rouen. Ils seront assurément placés en détention provisoire, à l'issue du débat contradictoire dans le bureau du juge des libertés et de la détention (JLD).
L'enquête a été rondement menée par la division criminelle du service régional de police judiciaire de Normandie, en charge des investigations après la découverte, samedi matin, à leur domicile à Grand-Quevilly de [Jacques Franck, un médecin exerçant à Rouen, et de son épouse Nelly]article:1067.
Interpellés samedi et dimanche
Ainsi que le révélait infonormandie.com dimanche soir le couple a été froidement exécuté d'une balle dans la tempe.
Dès les premières heures de l'enquête, la thèse de la piste criminelle a été privilégiée. L'arme de poing qui a été utilisée n'a pas été retrouvée sur la scène de crime, ce qui a permis aux enquêteurs d'exclure la piste de l'homicide suivi d'un suicide.
Selon nos informations, l'un des meurtriers présumés, le plus jeune, a été interpellé rapidement, à savoir dès le samedi 30 mars, jour du crime, en fin d'après-midi. Le second a été interpellé le lendemain dimanche en fin de matinée. Tous les deux ont été placés en garde à vue.
Un différend financier
Une histoire de projet immobilier sur fond d'un différend financier serait le mobile de cette tuerie.
Le procureur de la République adjoint, Jean-Claude Belot, et le directeur du SRPJ de Rouen, Philippe Ménard, devraient au cours d'une conférence de presse ce mardi 2 avril à 17 heures expliquer sommairement les tenants et aboutissants de cette affaire criminelle.
L'enquête a été rondement menée par la division criminelle du service régional de police judiciaire de Normandie, en charge des investigations après la découverte, samedi matin, à leur domicile à Grand-Quevilly de [Jacques Franck, un médecin exerçant à Rouen, et de son épouse Nelly]article:1067.
Interpellés samedi et dimanche
Ainsi que le révélait infonormandie.com dimanche soir le couple a été froidement exécuté d'une balle dans la tempe.
Dès les premières heures de l'enquête, la thèse de la piste criminelle a été privilégiée. L'arme de poing qui a été utilisée n'a pas été retrouvée sur la scène de crime, ce qui a permis aux enquêteurs d'exclure la piste de l'homicide suivi d'un suicide.
Selon nos informations, l'un des meurtriers présumés, le plus jeune, a été interpellé rapidement, à savoir dès le samedi 30 mars, jour du crime, en fin d'après-midi. Le second a été interpellé le lendemain dimanche en fin de matinée. Tous les deux ont été placés en garde à vue.
Un différend financier
Une histoire de projet immobilier sur fond d'un différend financier serait le mobile de cette tuerie.
Le procureur de la République adjoint, Jean-Claude Belot, et le directeur du SRPJ de Rouen, Philippe Ménard, devraient au cours d'une conférence de presse ce mardi 2 avril à 17 heures expliquer sommairement les tenants et aboutissants de cette affaire criminelle.