Illustration.
La vigilance d'un riverain a permis de mettre fin (provisoirement ?) à l'activité artistique de trois jeunes gens, amateurs de tags et de graffiti en tout genre.
Dans la soirée de mercredi 30 septembre, vers 22h45, un appel téléphonique parvient au centre d'information et de commandement (CIC) a l'hôtel de police de Rouen.
L'interlocuteur signale avoir vu des individus - deux hommes et une femme - en train de taguer le mur d'un immeuble rue Pouchet, à Rouen. Il fournit quelques indications sur la façon dont ils sont habillés et précise qu'ils ont pris la direction de la rue d'Herbouville.
Quatre bombes de peinture dans son sac
Forts de ces éléments, des policiers en civil de la brigade anti-criminalité arrivent sur les lieux et repèrent immédiatement trois individus correspondant au signalement et les contrôlent.
Les deux hommes, âgés de 28 et 16 ans, sont trouvés en possession, le premier de quatre bombes aérosols de peinture dans son sac à dos, le second d'un feutre noir indélébile. Ils nient être les auteurs de ces tags, malgré la présence révélatrice de traces de peintures sur leurs mains. Ils sont ramenés à l'hôtel de police pour être placés en garde à vue.
La jeune fille, âgée de 22 ans et demeurant à Versailles (Yvelines) est mise hors de cause.
Les enquêteurs procèdent ensuite à des vérifications dans le secteur du quartier de la gare et découvrent d'autres tags et inscriptions, notamment sur une porte de garage privé, sur des murs d'immeubles et un compteur EDF...
L'interlocuteur signale avoir vu des individus - deux hommes et une femme - en train de taguer le mur d'un immeuble rue Pouchet, à Rouen. Il fournit quelques indications sur la façon dont ils sont habillés et précise qu'ils ont pris la direction de la rue d'Herbouville.
Quatre bombes de peinture dans son sac
Forts de ces éléments, des policiers en civil de la brigade anti-criminalité arrivent sur les lieux et repèrent immédiatement trois individus correspondant au signalement et les contrôlent.
Les deux hommes, âgés de 28 et 16 ans, sont trouvés en possession, le premier de quatre bombes aérosols de peinture dans son sac à dos, le second d'un feutre noir indélébile. Ils nient être les auteurs de ces tags, malgré la présence révélatrice de traces de peintures sur leurs mains. Ils sont ramenés à l'hôtel de police pour être placés en garde à vue.
La jeune fille, âgée de 22 ans et demeurant à Versailles (Yvelines) est mise hors de cause.
Les enquêteurs procèdent ensuite à des vérifications dans le secteur du quartier de la gare et découvrent d'autres tags et inscriptions, notamment sur une porte de garage privé, sur des murs d'immeubles et un compteur EDF...