Les oiseaux d'une volière ont été aspergés de poudre d'extincteurs et un manège d'enfants a été dégradé (Illustration)
Une enquête a été ouverte afin d'identifier le ou les auteurs de dégradations commises au Jardin des plantes sur la rive gauche de Rouen.
Hier, mercredi matin, les services de police ont été informés vers 10 heures que s'dans le courant de la nuit des individus avaient vidé le contenu d'au moins trois extincteurs sur les oiseaux, notamment des perruches, d'une volière à l'intérieur du jardin. Ils s'en sont pris également à un manège d'enfant qui a été dégradé à l'aide d'un extincteur et recouvert de poudre blanche.
La surveillance va être renforcée la nuit
Lors des constatations, les policiers ont retrouvé sur place un des extincteurs vide et qui avait volé avec deux autres deux jours plus tôt dans un bâtiment du jardin des plantes.
Le groupe d'enquête criminalistique de la sûreté départementale a procédé à un examen attentif de l'extincteur en leur possession et du manège. La moindre trace d'empreintes ou d'ADN pourrait permettre, tôt ou tard, aux enquêteurs de mettre un nom sur le ou les vandales.
Dans l'immédiat, la surveillance du jardin des plantes va être renforcée la nuit, indique l'officier de communication à l'état major de l'hôtel de police.
Hier, mercredi matin, les services de police ont été informés vers 10 heures que s'dans le courant de la nuit des individus avaient vidé le contenu d'au moins trois extincteurs sur les oiseaux, notamment des perruches, d'une volière à l'intérieur du jardin. Ils s'en sont pris également à un manège d'enfant qui a été dégradé à l'aide d'un extincteur et recouvert de poudre blanche.
La surveillance va être renforcée la nuit
Lors des constatations, les policiers ont retrouvé sur place un des extincteurs vide et qui avait volé avec deux autres deux jours plus tôt dans un bâtiment du jardin des plantes.
Le groupe d'enquête criminalistique de la sûreté départementale a procédé à un examen attentif de l'extincteur en leur possession et du manège. La moindre trace d'empreintes ou d'ADN pourrait permettre, tôt ou tard, aux enquêteurs de mettre un nom sur le ou les vandales.
Dans l'immédiat, la surveillance du jardin des plantes va être renforcée la nuit, indique l'officier de communication à l'état major de l'hôtel de police.