Des formations aux risques ferroviaires sont dispensées aux gendarmes (Photo d'illustration @ajecta.org)
EURE - Dans le cadre d'un partenariat avec la SNCF, une vingtaine de gendarmes de la compagnie de Louviers, commandée par le chef d'escadron Johnny Charrier, a participé le 26 novembre à Gaillon à une séance de formation aux risques ferroviaires.
Il s'agissait pour ces militaires de se familiariser avec la réglementation propre à la SNCF en cas d'intervention sur les voies ou dans des trains. Un coordinateur régional de la société de chemin de fer, venu de Rouen, a expliqué en détail les protocoles de sécurité à respecter notamment par rapport aux lignes électriques et à l'utilisation du pistolet à pulsions électriques (Taser) qui est formellement interdit.
Le formateur de la SNCF a également rappelé certaines règles à respecter en cas de suicide sur la voie ferrée. L'immobilisation prolongée d'un train pour les besoins d'une enquête peut parfois générer des réactions imprévisibles des voyageurs, voire un accident en particulier lorsque ces derniers descendent sur les voies.
« Nous devons concilier les impératifs liés à une enquête, qui nécessite sur place des investigations, et le principe de précaution imposé par la réglementation ferroviaire », observe le commandant Johnny Charrier.
Il s'agissait pour ces militaires de se familiariser avec la réglementation propre à la SNCF en cas d'intervention sur les voies ou dans des trains. Un coordinateur régional de la société de chemin de fer, venu de Rouen, a expliqué en détail les protocoles de sécurité à respecter notamment par rapport aux lignes électriques et à l'utilisation du pistolet à pulsions électriques (Taser) qui est formellement interdit.
Le formateur de la SNCF a également rappelé certaines règles à respecter en cas de suicide sur la voie ferrée. L'immobilisation prolongée d'un train pour les besoins d'une enquête peut parfois générer des réactions imprévisibles des voyageurs, voire un accident en particulier lorsque ces derniers descendent sur les voies.
« Nous devons concilier les impératifs liés à une enquête, qui nécessite sur place des investigations, et le principe de précaution imposé par la réglementation ferroviaire », observe le commandant Johnny Charrier.