Les 500 élèves de l'établissement ont été évacués le temps de la levée de doute - Illustration © Google Maps
Début de panique ce vendredi midi dans l'enceinte du collège Rachel Salmona, au Tréport (Seine-Maritime). Une odeur suspecte a nécessité l'intervention des sapeurs-pompiers et d'une équipe du Service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR).
Il est 12 heures quand un appel parvient au Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis) basé à Yvetot. Les secours sont dépêchés pour une « fuite ou déversement de produit ou matière dangereuse ».à l'intérieur d'un collège du Tréport, qui accueille 500 élèves.
Il est 12 heures quand un appel parvient au Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis) basé à Yvetot. Les secours sont dépêchés pour une « fuite ou déversement de produit ou matière dangereuse ».à l'intérieur d'un collège du Tréport, qui accueille 500 élèves.
► 16 collégiens et 2 enseignants pris en charge par les secours
A leur arrivée sur place, les sapeurs-pompiers et l'équipe médicale prennent en charge 16 collégiens et 2 enseignants qui se plaignent d'irritation des voies aériennes et oculaires. Aucune des victimes n'est transportée à l'hôpital.
L'établissement est évacué par précaution. Les collégiens sont rassemblés dans une salle polyvalente et le réfectoire.
Parallèlement, les sapeurs-pompiers procèdent à des reconnaissances et à des mesures dans tout l'établissement. Il est rapidement établi qu'« il s'agissait d'un phénomène cause par un jet de bombe lacrymogène retrouvée dans une salle de classe », relatent les secours.
Après la levée de doute, le collège a pu reprendre un fonctionnement normal.
L'intervention a mobilisé quand même 40 sapeurs pompiers avec 25 engins, essentiellement des véhicules de secours aux victimes (VSAV).
L'établissement est évacué par précaution. Les collégiens sont rassemblés dans une salle polyvalente et le réfectoire.
Parallèlement, les sapeurs-pompiers procèdent à des reconnaissances et à des mesures dans tout l'établissement. Il est rapidement établi qu'« il s'agissait d'un phénomène cause par un jet de bombe lacrymogène retrouvée dans une salle de classe », relatent les secours.
Après la levée de doute, le collège a pu reprendre un fonctionnement normal.
L'intervention a mobilisé quand même 40 sapeurs pompiers avec 25 engins, essentiellement des véhicules de secours aux victimes (VSAV).