Les huit salles du cinéma Omnia, rue de la République à Rouen, ont été évacuées dans la soirée d’hier mardi - illustration
La mairie de Rouen a été une nouvelle fois la cible d’une alerte à la bombe ce mercredi matin. La menace est arrivée par mail vers 8h30.
L’hôtel de ville a été évacuée conformément aux directives du plan Vigipirate, par les forces de l’ordre qui ont mis en place un périmètre de sécurité et procédé à des recherches. Aucun objet suspect n’a été découvert suite à la levée de doute terminée. La mairie annonce sa réouverture au public à 13 heures.
Hier déjà, vers 8h30, l’Hôtel de ville avait été évacué pour la même raison.
L’hôtel de ville a été évacuée conformément aux directives du plan Vigipirate, par les forces de l’ordre qui ont mis en place un périmètre de sécurité et procédé à des recherches. Aucun objet suspect n’a été découvert suite à la levée de doute terminée. La mairie annonce sa réouverture au public à 13 heures.
Hier déjà, vers 8h30, l’Hôtel de ville avait été évacué pour la même raison.
⚠️ Information urgente ⚠️
— Ville de Rouen (@Rouen) December 27, 2023
En raison d'une nouvelle alerte à la bombe, la mairie est à nouveau fermée au public jusqu'à la fin de la levée des doutes.
Cinémas évacués à Rouen et Elbeuf
La préfecture rappelle sur les réseaux sociaux que les fausses alertes à la bombe sont sévèrement punies
Deux cinémas de l’agglomération rouennaise ont également fait l’objet d’alerte à la bombe selon le même mode opératoire, hier mardi dans la soirée. Les huit salles du cinéma Omnia, rue de la République à Rouen ont été évacuées, vers 18h45, soit 150 spectateurs environ. Le cinéma a pu reprendre ses projections vers 20 heures, à l’issue de la levée de doute.
Vers 20h30, c’est le cinéma Mercure, à Elbeuf, qui a reçu un mail l’informant de l’explosion imminente d’une bombe. Les cinq salles de projection ont été évacuées, soit une trentaine de personnes. Le cinéma a rouvert ses portes au public à 21h10.
Plusieurs dizaines de fausses alertes à la bombe ont été enregistrées depuis hier un peu partout en France, indique ce matin la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de Seine-Maritime.
Dans tous les cas, c’est la police judiciaire qui est saisie des enquêtes.