Deux lycéens ont été placés en garde à vue à l'hôtel de police de Rouen (Seine-Maritime) pour avoir tenté d'introduire des produits dangereux dans l'enceinte du lycée professionnel Jean-Baptiste Colbert au Petiti-Quevilly, un établissement de la Métropole de Rouen.
Ce vendredi 20 octobre, dans l’après-midi, le proviseur de ce lycée a contacté les services de police pour signaler qu’un élève avait été trouvé « porteur d’une bouteille en plastique pouvant contenir un produit chimique à l’entrée du lycée », a indiqué dans un communiqué le parquet de Rouen. La bouteille contenait de l'acide chlorhydrique, selon certaines sources.
Ce vendredi 20 octobre, dans l’après-midi, le proviseur de ce lycée a contacté les services de police pour signaler qu’un élève avait été trouvé « porteur d’une bouteille en plastique pouvant contenir un produit chimique à l’entrée du lycée », a indiqué dans un communiqué le parquet de Rouen. La bouteille contenait de l'acide chlorhydrique, selon certaines sources.
Deux bouteilles de produits chimiques explosent
Le chef d'établissement a par ailleurs précisé que deux faits similaires avaient été constatés précédemment.
De fait, le 17 octobre, deux bouteilles en plastique ont explosé avec une odeur chimique qui s’est dégagée. Il n'y a pas eu de blessé.
Deux jours plus tard, deux autres bouteilles ont été découvertes « mais n’ont pas explosé et n’ont pas laissé échapper de gaz », précise Aude Helbert, procureur de la Républiqiue adjoint.
Le mis en cause, âgé de 17 ans, a été placé en garde à vue. Il a impliqué dans les faits un autre lycéen de 17 ans également qui a été interpellé pour les mêmes raisons.
« Les investigations se poursuivent pour déterminer le rôle de chacun et leurs motivations », indique le parquet.
Selon l'AFP, l'un des jeunes gens, de nationalité syrienne, a été suivi par la cellule de prévention de la radicalisation entre 2020 et 2021.
De fait, le 17 octobre, deux bouteilles en plastique ont explosé avec une odeur chimique qui s’est dégagée. Il n'y a pas eu de blessé.
Deux jours plus tard, deux autres bouteilles ont été découvertes « mais n’ont pas explosé et n’ont pas laissé échapper de gaz », précise Aude Helbert, procureur de la Républiqiue adjoint.
Le mis en cause, âgé de 17 ans, a été placé en garde à vue. Il a impliqué dans les faits un autre lycéen de 17 ans également qui a été interpellé pour les mêmes raisons.
« Les investigations se poursuivent pour déterminer le rôle de chacun et leurs motivations », indique le parquet.
Selon l'AFP, l'un des jeunes gens, de nationalité syrienne, a été suivi par la cellule de prévention de la radicalisation entre 2020 et 2021.