L'appareil s'est écrasé près de l'A29, pour des raisons ignorées - Photo d'illustration © iStockphoto
Les deux occupants d'un avion biplace sont mort dans le crash de leur appareil, de type ULM, en Seine-Maritime.
Le drame est survenu ce vendredi 19 juin, peu avant 11h30, sur le territoire de la commune de Mortemer, à l'est de Neufchâtel-en-Bray. Les deux victimes, un homme de 73 ans et une femme de 34 ans, tous deux de nationalité belge, étaient à bord du monomoteur en provenance de Belgique. Elles étaient incarcérées et sans vie à l'arrivée des sapeurs-pompiers.
L'avion, un Aveko VL-3 évolution, s'est écrasé sur un talus en bordure du CD36 et de l'autoroute A29.
Les raisons du crash sont inconnues à ce stade des investigations qui ont été confiées à la gendarmerie des transports aériens.
Le drame est survenu ce vendredi 19 juin, peu avant 11h30, sur le territoire de la commune de Mortemer, à l'est de Neufchâtel-en-Bray. Les deux victimes, un homme de 73 ans et une femme de 34 ans, tous deux de nationalité belge, étaient à bord du monomoteur en provenance de Belgique. Elles étaient incarcérées et sans vie à l'arrivée des sapeurs-pompiers.
L'avion, un Aveko VL-3 évolution, s'est écrasé sur un talus en bordure du CD36 et de l'autoroute A29.
Les raisons du crash sont inconnues à ce stade des investigations qui ont été confiées à la gendarmerie des transports aériens.
Les démineurs sur place
Un périmètre de sécurité a été mis en place, indique le centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis). « Ce type d'engin possède des charges pyrotechniques qu'il convient de désactiver avant de débuter le travail de désincarcération ».
Par sécurité, les démineurs ont été appelés à intervenir afin de prévenir tout risque d'explosion pendant l'intervention des secours. Pour la même raison, deux lances à incendie ont été déployées.
Une enquête a été ouverte par le parquet de Dieppe. Le bureau d'enquête de l'aviation civile était attendu sur place dans l'après-midi. [Actualisé à 17h30]
Par sécurité, les démineurs ont été appelés à intervenir afin de prévenir tout risque d'explosion pendant l'intervention des secours. Pour la même raison, deux lances à incendie ont été déployées.
Une enquête a été ouverte par le parquet de Dieppe. Le bureau d'enquête de l'aviation civile était attendu sur place dans l'après-midi. [Actualisé à 17h30]