Les parents d’élèves de l’école Maupassant de Petit-Couronne sont déterminés - Photo @ DR
Le projet de loi et de réforme de l'éducation nationale, annoncé par le ministre Jean-Michel Blanquer, a suscité de vives réactions au sein du corps enseignant et des parents d'élèves, qui se disent « inquiets pour l'avenir de leurs enfants ».
« École morte » vendredi 10 mai
Ces dernières semaines, de nombreux courriers et messages ont été adressés aux sénateurs et députés de Seine-Maritime. Une pétition a également été envoyée directement au ministre de l’Education nationale et à la députée Sira Sylla.
« C'est pour cela que, maintenant, un groupe de représentants de parents a lancé (pour ce vendredi 10 mai, ndlr) un appel à l'école morte dans un premier temps sur le groupe scolaire Maupassant puis par contagion et solidarité les deux autres groupes tels que Louise Michel et Flaubert sont appelés à se joindre au mouvement afin de créer une unité au sein de la ville de Petit-Couronne ».
Les trois groupes scolaires représentent à peu près 900 d'élèves et le but étant qu'un minimum d'enfant soit mis à l'école ce jour là.
« C'est pour cela que, maintenant, un groupe de représentants de parents a lancé (pour ce vendredi 10 mai, ndlr) un appel à l'école morte dans un premier temps sur le groupe scolaire Maupassant puis par contagion et solidarité les deux autres groupes tels que Louise Michel et Flaubert sont appelés à se joindre au mouvement afin de créer une unité au sein de la ville de Petit-Couronne ».
Les trois groupes scolaires représentent à peu près 900 d'élèves et le but étant qu'un minimum d'enfant soit mis à l'école ce jour là.
Les instituteurs ne pourront pas assurer la classe, les parents se tiendront devant la grille pour échanger avec d'autres parents mais en aucun ils ne bloqueront l'accès, promettent-ils.
« Par cette démarche nous espérons faire entendre raison au gouvernement. Nous n'hésiterons pas à réitérer ce mouvement si nous n'étions pas entendu ».
« Par cette démarche nous espérons faire entendre raison au gouvernement. Nous n'hésiterons pas à réitérer ce mouvement si nous n'étions pas entendu ».