Le 14 octobre 2014, quatre employées de la société Métro, à Sotteville-lès-Rouen, avaient déposé plainte après avoir reçu chacune sur leur téléphone portable des messages à caractère sexuel accompagnés d'une photo montrant un sexe en érection.
Un employé licencié soupçonné
Très rapidement, des soupçons s'étaient portés sur un de leurs collègues de travail récemment licencié. Les investigations policières du groupe d'appui judiciaire de Saint-Étienne-du-Rouvray viennent d'aboutir, avec l'arrestation des auteurs de cette histoire pour le moins graveleuse.
Les enquêteurs sont remontés jusqu'à eux grâce à l'exploitation des données téléphoniques du propriétaire de la ligne, un homme de 38 ans domicilié à Gaillefontaine, proche de Forges-les-Eaux. Convoqué par les policiers, ce dernier a reconnu être à l'origine des messages et de la photo qui représente, précise-t-il, son sexe.
L'homme explique avoir agi à la demande d'un contact rencontré sur un site de tchat, baptisé Coco-land. Soit.
Rappel à la loi
Poursuivant leurs recherches, les policiers convoquent à son tour l'ex-employé soupçonné par les quatre victimes. Lors de son audition, cet homme de 51 ans originaire de Montmain nie d'abord catégoriquement toute implication dans cette histoire.
Acculé sous le feu roulant des questions, il finit cependant par lâcher que c'est bien lui qui a fourni les numéros de téléphones de ses anciennes collègues, âgées de 46, 44, 41 et 39 ans. Mais, selon ses déclarations, il était loin de penser que son contact enverrait de tels "messages illustrés".
Quoi qu'il en soit, l'auteur des envois s'en sort avec un rappel à la loi.
Un employé licencié soupçonné
Très rapidement, des soupçons s'étaient portés sur un de leurs collègues de travail récemment licencié. Les investigations policières du groupe d'appui judiciaire de Saint-Étienne-du-Rouvray viennent d'aboutir, avec l'arrestation des auteurs de cette histoire pour le moins graveleuse.
Les enquêteurs sont remontés jusqu'à eux grâce à l'exploitation des données téléphoniques du propriétaire de la ligne, un homme de 38 ans domicilié à Gaillefontaine, proche de Forges-les-Eaux. Convoqué par les policiers, ce dernier a reconnu être à l'origine des messages et de la photo qui représente, précise-t-il, son sexe.
L'homme explique avoir agi à la demande d'un contact rencontré sur un site de tchat, baptisé Coco-land. Soit.
Rappel à la loi
Poursuivant leurs recherches, les policiers convoquent à son tour l'ex-employé soupçonné par les quatre victimes. Lors de son audition, cet homme de 51 ans originaire de Montmain nie d'abord catégoriquement toute implication dans cette histoire.
Acculé sous le feu roulant des questions, il finit cependant par lâcher que c'est bien lui qui a fourni les numéros de téléphones de ses anciennes collègues, âgées de 46, 44, 41 et 39 ans. Mais, selon ses déclarations, il était loin de penser que son contact enverrait de tels "messages illustrés".
Quoi qu'il en soit, l'auteur des envois s'en sort avec un rappel à la loi.