Les démineurs de Caen ont pris en charge l'obus - Illustration
Un homme de 22 ans, s'est présenté, dimanche 2 juin, en début de soirée au commissariat de police de Bolbec (Seine-Maritime). Il n'est pas venu seul, mais ...avec un obus de mortier de 120 mm, dans le coffre de sa voiture.
Il a expliqué aux policiers être venu afin qu'ils puissent examiner un vestige de la Seconde Guerre mondiale qu'il venait d'acheter à un vide-grenier à Octeville-sur-Mer, près du Havre, pour la modique somme d'une vingtaine d'euros.
Il a expliqué aux policiers être venu afin qu'ils puissent examiner un vestige de la Seconde Guerre mondiale qu'il venait d'acheter à un vide-grenier à Octeville-sur-Mer, près du Havre, pour la modique somme d'une vingtaine d'euros.
Le culot était percuté
Le jeune homme, originaire de Saint-Antoine-la-Forêt, a confié avoir transporté l'obus dans sa Peugeot 207, stationnée sur le parking près du commissariat.
Pour le moins dubitatifs, les fonctionnaires ont envoyé par sécurité une photo de l'engin explosif au service de déminage de la sécurité civile à Caen (Calvados). En réponse, les démineurs ont demandé aux forces de l'ordre de mettre en place un périmètre de sécurité autour de la voiture dans l'attente de leur arrivée sur place.
Après examen minutieux, il est apparu qu'il s'agissait d'un obus d'exercice dont le culot avait été percuté, ce qui le rendait donc totalement inoffensif.
Pour le moins dubitatifs, les fonctionnaires ont envoyé par sécurité une photo de l'engin explosif au service de déminage de la sécurité civile à Caen (Calvados). En réponse, les démineurs ont demandé aux forces de l'ordre de mettre en place un périmètre de sécurité autour de la voiture dans l'attente de leur arrivée sur place.
Après examen minutieux, il est apparu qu'il s'agissait d'un obus d'exercice dont le culot avait été percuté, ce qui le rendait donc totalement inoffensif.