Un SDF a écopé de 6 mois de prison ferme mais il est ressorti libre du palais de justice de Rouen. Le tribunal correctionnel n'a pas délivré de mandat de dépôt à son encontre.
Il a été jugé le 30 avril en comparution immédiate pour une série de 24 vols par effraction commis à Rouen, Bois-Guillaume et Mont-Saint-Aignan, au cours du premier semestre 2014.
Arrêté à Paris
Identifié grâce à des prélèvements ADN réalisés sur les lieux de trois cambriolages, l'individu faisait l'objet depuis le mois d'octobre dernier d'une fiche de recherche (il était inscrit au fichier national des personnes recherchées). Il a été interpellé le 28 avril dans le cadre d'une autre affaire par les policiers du 5ème arrondissement de Paris, et remis aux enquêteurs de la brigade de répression des cambriolages de la sûreté départementale de Seine-Maritime.
Placé en garde à vue à l'hôtel de police de Rouen, le suspect a d'abord reconnu trois cambriolages où il a été confondu pars son ADN. Des vols commis le 21 février 2014 rue de Buffon et Gustave Flaubert, dans le quartier de la préfecture à Rouen, et un mois plus tard rue du Renard.
Toujours le même mode opératoire
Les investigations policières avaient permis à l'époque d'établir que le mode opératoire utilisé par le cambrioleur était toujours le même. Il s'attaquait en effet uniquement aux maisons de ville ou à des appartements situés au rez de chaussée, brisait la vitre d'une fenêtre et dans les lieux faisait main basse sur l'argent et les bijoux (quand il en trouvait), le matériel multimédia et aussi des vêtements.
Les faits se déroulaient toujours dans la journée et le plus souvent dans l'après-midi.
Un cambriolage par semaine
Les policiers ont pu ainsi, par recoupements et en reprenant toutes les plaintes enregistrées à cette période, identifier 21 autres vols par effraction commis de la même façon et sans doute par le même auteur. Un auteur qui était formellement identifié en octobre 2014 grâce aux résultats de l'empreinte génétique retrouvée sur certains cambriolages, et qui correspondait au SDF présent à Rouen au moment des faits.
Lors de son interrogatoire, le suspect a affirmé ne pas se souvenir du nombre des vols qu'il a pu commettre il y a un an. En revanche il s'est souvenu qu'il faisait un cambriolage par semaine. Il revendait le matériel volé dans la rue, "sous le manteau" et au plus offrant. Sur un des vols, le SDF a reconnu avoir troqué ses vêtements sales contre des vêtements propres trouvés dans l'armoire de sa victime.
Il a été jugé le 30 avril en comparution immédiate pour une série de 24 vols par effraction commis à Rouen, Bois-Guillaume et Mont-Saint-Aignan, au cours du premier semestre 2014.
Arrêté à Paris
Identifié grâce à des prélèvements ADN réalisés sur les lieux de trois cambriolages, l'individu faisait l'objet depuis le mois d'octobre dernier d'une fiche de recherche (il était inscrit au fichier national des personnes recherchées). Il a été interpellé le 28 avril dans le cadre d'une autre affaire par les policiers du 5ème arrondissement de Paris, et remis aux enquêteurs de la brigade de répression des cambriolages de la sûreté départementale de Seine-Maritime.
Placé en garde à vue à l'hôtel de police de Rouen, le suspect a d'abord reconnu trois cambriolages où il a été confondu pars son ADN. Des vols commis le 21 février 2014 rue de Buffon et Gustave Flaubert, dans le quartier de la préfecture à Rouen, et un mois plus tard rue du Renard.
Toujours le même mode opératoire
Les investigations policières avaient permis à l'époque d'établir que le mode opératoire utilisé par le cambrioleur était toujours le même. Il s'attaquait en effet uniquement aux maisons de ville ou à des appartements situés au rez de chaussée, brisait la vitre d'une fenêtre et dans les lieux faisait main basse sur l'argent et les bijoux (quand il en trouvait), le matériel multimédia et aussi des vêtements.
Les faits se déroulaient toujours dans la journée et le plus souvent dans l'après-midi.
Un cambriolage par semaine
Les policiers ont pu ainsi, par recoupements et en reprenant toutes les plaintes enregistrées à cette période, identifier 21 autres vols par effraction commis de la même façon et sans doute par le même auteur. Un auteur qui était formellement identifié en octobre 2014 grâce aux résultats de l'empreinte génétique retrouvée sur certains cambriolages, et qui correspondait au SDF présent à Rouen au moment des faits.
Lors de son interrogatoire, le suspect a affirmé ne pas se souvenir du nombre des vols qu'il a pu commettre il y a un an. En revanche il s'est souvenu qu'il faisait un cambriolage par semaine. Il revendait le matériel volé dans la rue, "sous le manteau" et au plus offrant. Sur un des vols, le SDF a reconnu avoir troqué ses vêtements sales contre des vêtements propres trouvés dans l'armoire de sa victime.