Le chien des policiers a été victime de violences de la part d'un jeune qui a été interpellé - Illustration © Adobe Stock
-Quatre blessés dans les rangs de la Police municipale de Grand-Quevilly (Seine-Maritime). Tel est le bilan des affrontements entre deux bandes de jeunes qui ont voulu en découdre hier, mercredi 12 janvier, en fin d'après-midi, dans le secteur de l'avenue des Provinces.
Peu avant 17h30, des agents de la police municipale remarquent au cours de leur patrouille un attroupement aux abords de la station de métro Kennedy à Grand-Quevilly. En se rapprochant, l'attention des fonctionnaires est attirée par la présence d'un jeune qui vient d'être agressé et blessé après avoir été aspergé de gaz lacrymogène. Il s'agit d'un jeune homme de 20 ans.
Peu avant 17h30, des agents de la police municipale remarquent au cours de leur patrouille un attroupement aux abords de la station de métro Kennedy à Grand-Quevilly. En se rapprochant, l'attention des fonctionnaires est attirée par la présence d'un jeune qui vient d'être agressé et blessé après avoir été aspergé de gaz lacrymogène. Il s'agit d'un jeune homme de 20 ans.
Le chien policier victime de violence
Dans le même temps, ils constatent que deux groupes d'individus s'observent et veulent en découdre. Les "municipaux" tentent alors de s'interposer et sont pris à partie par les protagonistes qui lancent dans leur direction des bouteilles en verre et les aspergent de gaz lacrymogène.
Un des assaillants s'en prend au chien de la police municipale qui est violemment frappé. Interpellé, 'auteur des faits, âgé de 16 ans, se rebelle, menace et insulte les policiers qui doivent en même faire front aux assaillants déterminés à s'opposer à l'interpellation de l'adolescent.
Un des assaillants s'en prend au chien de la police municipale qui est violemment frappé. Interpellé, 'auteur des faits, âgé de 16 ans, se rebelle, menace et insulte les policiers qui doivent en même faire front aux assaillants déterminés à s'opposer à l'interpellation de l'adolescent.
Dispersés à l'aide d'une grenade lacrymogène
Appelée en renfort, les policiers nationaux de la Compagnie d'intervention sont contraints de faire usage d'une grenade lacrymogène pour disperser les assaillants . Quatre d'entre eux sont appréhendés : ils sont âgés de 16 à 18 ans et domiciliés à Sotteville-lès-Rouen et Oissel.