Le corps du quadragénaire tué par balle a été découvert dans cet immeuble situé 3 rue du Rade, dans le centre-ville de Dieppe
Un homme est mort, hier soir, d'une balle dans la tête, à Dieppe (Seine-Maritime). Les faits se sont produits dans un appartement au rez-de-chaussée d'un immeuble ancien de trois étages situé 3 rue de la Rade, à l'angle du quai Henri IV, en centre-ville.
A leur arrivée, vers 21h30, les sapeurs-pompiers ont découvert le corps d'un homme de 43 ans, cliniquement mort. Les premières constatations ont permis d'établir qu'il avait été tué d'une balle tirée par une arme à feu à l'arrière de la tête. La victime était domiciliée à Neuville-lès-Dieppe, un quartier tout proche situé à l'est de la ville.
A leur arrivée, vers 21h30, les sapeurs-pompiers ont découvert le corps d'un homme de 43 ans, cliniquement mort. Les premières constatations ont permis d'établir qu'il avait été tué d'une balle tirée par une arme à feu à l'arrière de la tête. La victime était domiciliée à Neuville-lès-Dieppe, un quartier tout proche situé à l'est de la ville.
Des traces de sang en abondance
Sur place, police-secours et la brigade anticriminalité ont procédé à l'interpellation de deux témoins des faits, le locataire de l'appartement âgé de 35 ans et un ami de 54 ans. Tous deux étaient manifestement en état d'ivresse. Ils ont été placés en garde à vue au commissariat de Dieppe.
"Des traces de sang en abondance ont été découvertes dans l'appartement", révèle à infoNormandie Valérie Cadignan, procureure de la République de Dieppe. Selon elle, l'arme du crime n'avait toujours pas été retrouvée en fin de matinée. "On ne sait pas vraiment ce qui s'est passé ni combien de coups de feu ont été tirés", indique la magistrate qui s'est déplacée sur les lieux. L'autopsie du corps de la victime, qui sera pratiquée dans les prochains jours, devrait apporter des éléments de réponse sur la nature des blessures et les causes de la mort.
La procureure confirme que les deux hommes, témoins clés de ce qui semble clairement être un homicide, étaient très fortement alcoolisés. Tous les trois avaient passé la soirée ensemble à boire dans cet appartement situé à deux pas du front de mer.
"Des traces de sang en abondance ont été découvertes dans l'appartement", révèle à infoNormandie Valérie Cadignan, procureure de la République de Dieppe. Selon elle, l'arme du crime n'avait toujours pas été retrouvée en fin de matinée. "On ne sait pas vraiment ce qui s'est passé ni combien de coups de feu ont été tirés", indique la magistrate qui s'est déplacée sur les lieux. L'autopsie du corps de la victime, qui sera pratiquée dans les prochains jours, devrait apporter des éléments de réponse sur la nature des blessures et les causes de la mort.
La procureure confirme que les deux hommes, témoins clés de ce qui semble clairement être un homicide, étaient très fortement alcoolisés. Tous les trois avaient passé la soirée ensemble à boire dans cet appartement situé à deux pas du front de mer.
Un gros travail d'investigation reste à faire
Certains éléments semblent indiquer qu'une dispute aurait éclaté entre la victime et l'auteur du coup de feu mortel. Pour quelle raison ? " Il y a gros travail d'investigation à faire", souligne Valérie Cadignan, confirmant avoir saisi le Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen.
Le service régional de l'identité judiciaire (CRIJ) a procédé toute la nuit et encore ce matin aux premières constatations de police technique et scientifique sur la scène de crime qui a été maintenue en l'état jusqu'à l'arrivée des enquêteurs.
Les deux hommes interpellés seront interrogés dès que leur état le permettra (ils étaient toujours en dégrisement ce matin). Leurs auditions seront sans doute primordiales pour comprendre ce qui s'est passé. De même, l'enquête de voisinage et l'exploitation des téléphones des protagonistes de cette affaire devraient permettre d'apporter des éléments intéressants pour l'enquête.
Les policiers devraient s'intéresser également aux deux personnes qui ont appelé le standard des sapeurs-pompiers hier soir pour signaler les faits. S'agit-il de riverains qui auraient entendu la ou les détonations ? Ou des deux hommes qui se trouvaient dans l'appartement à l'arrivée des secours ? Ou encore d'une troisième personne ?
Le service régional de l'identité judiciaire (CRIJ) a procédé toute la nuit et encore ce matin aux premières constatations de police technique et scientifique sur la scène de crime qui a été maintenue en l'état jusqu'à l'arrivée des enquêteurs.
Les deux hommes interpellés seront interrogés dès que leur état le permettra (ils étaient toujours en dégrisement ce matin). Leurs auditions seront sans doute primordiales pour comprendre ce qui s'est passé. De même, l'enquête de voisinage et l'exploitation des téléphones des protagonistes de cette affaire devraient permettre d'apporter des éléments intéressants pour l'enquête.
Les policiers devraient s'intéresser également aux deux personnes qui ont appelé le standard des sapeurs-pompiers hier soir pour signaler les faits. S'agit-il de riverains qui auraient entendu la ou les détonations ? Ou des deux hommes qui se trouvaient dans l'appartement à l'arrivée des secours ? Ou encore d'une troisième personne ?