Illustration. La quinquagénaire a été percutée à hauteur d'un passage à niveau
Le trafic ferroviaire a été interrompu dans les deux sens pendant plus de deux heures, dans la nuit de vendredi à samedi, à la suite d'un "accident de personne" à un passage à niveau situé à hauteur de Pavilly (Seine-Maritime). Une femme âgée d'une cinquantaine d'années a été percutée, vers 22h30, par le TGV assurant la liaison Marseille - Lyon - Rouen - Le Havre.
Le conducteur du train n'a pas remarqué la présence de cette femme sur les voies, mais il a ressenti un choc violent au moment de franchir un passage à niveau dans la descente de Pavilly. Il a arrêté son convoi en gare de Pavilly et a remonté les voies à pied. C'est alors qu'il a découvert un corps disloqué. Il a alors alerté le poste de commandement de la SNCF et les secours.
La thèse du suicide privilégiée
Les investigations de la gendarmerie ont permis d'établir qu'il s'agissait d'une femme qui a pu être partiellement identifée. Elle serait âgée de 57 ans et domiciliée dans la région d'Yvetot. La thèse du suicide ne semblait faire guère de doute ce samedi soir pour les enquêteurs. Les techniciens de la cellule d'identification criminelle (CIC) du groupement de gendamerie de Seine-Maritime sont venus sur les lieux du drame.
Pour les besoins des constatations, le TGV a été immobilisé sur place et la centaine de voyageurs qui étaient à bord, dont un groupe d'enfants havrais qui revenaient de colonie de vacances, ont été pris en charge par des autocars mis en place par la SNCF.
La circulation des trains a pu être rétablie vers minuit et demi.
C'est le 4ème suicide enregistré sur cette portion de voie depuis le début de l'année.
Le conducteur du train n'a pas remarqué la présence de cette femme sur les voies, mais il a ressenti un choc violent au moment de franchir un passage à niveau dans la descente de Pavilly. Il a arrêté son convoi en gare de Pavilly et a remonté les voies à pied. C'est alors qu'il a découvert un corps disloqué. Il a alors alerté le poste de commandement de la SNCF et les secours.
La thèse du suicide privilégiée
Les investigations de la gendarmerie ont permis d'établir qu'il s'agissait d'une femme qui a pu être partiellement identifée. Elle serait âgée de 57 ans et domiciliée dans la région d'Yvetot. La thèse du suicide ne semblait faire guère de doute ce samedi soir pour les enquêteurs. Les techniciens de la cellule d'identification criminelle (CIC) du groupement de gendamerie de Seine-Maritime sont venus sur les lieux du drame.
Pour les besoins des constatations, le TGV a été immobilisé sur place et la centaine de voyageurs qui étaient à bord, dont un groupe d'enfants havrais qui revenaient de colonie de vacances, ont été pris en charge par des autocars mis en place par la SNCF.
La circulation des trains a pu être rétablie vers minuit et demi.
C'est le 4ème suicide enregistré sur cette portion de voie depuis le début de l'année.