Des commerçants ont été la cible ce week-end de malfaiteurs en Seine-Maritime. Ainsi ce matin, peu avant 7 h 30s, deux ou trois individus visage cagoulés et armés ont fait irruption dans un bar- tabac à Gonfreville-l'Orcher. Ils voulaient manifestement dérober le tiroir-caisse, mais devant la résistance du gérant, les malfaiteurs ont pris la fuite sans rien emporter. Un pêu plus tard, un magasin la boulangerie du magasin Carrefour Market, ure de Verdun au Havre, a été braquée à son tour par deux ou trois individus encagoulés, gantés et munis de bombes lacrymogènes (s'agit-il de la même équipe ?). Là, ils sont parvenus à emporter la caisse enregistreuse, après avoir aspergé de gaz les employés. Les enquêteurs de la sûreté urbaine sont chargés des investigations.
Ces deux vols à main armée s'inscrivent dans une longue série de braquages qui a débuté samedi, au Havre déjà. Vers 7 h 20, deux individus encagoulés, gantés et armés, ont fait irruption dans le magasin Carrefour City, rue Aristide-Briand. Tandis que son complice faisait le guet à l'extérieur, l'un des braqueurs a exigé le contenu du tiroir-caisse à une des deux employées. Voyant que cela n'allait pas assez vite, ce dernier s'est acharné sur la caisse à coups de pied. Ils sont finalement repartis avec 200 euros environ et après aspergé la commerçante de gaz lacrymogène. Les deux victimes sont âgées de 57 et 40 ans.
Les malfaiteurs ligotent les cinq employés
Ce même samedi, vers 19 h 45, ce sont deux hommes encagoulés et munis d'armes de poing qui se sont attaqués au magasin Babou, rue du docteur Cotoni à Saint-Etienne-du-Rouvray, dans la banlieue de Rouen. Les malfaiteurs ont ligoté avec des cerflex les cinq employés, qui s'apprêtaient à fermer le magasin, après les avoir contraints de s'allonger sur le sol. Les braqueurs ont ensuite tranquillement vidé le contenu des tiroirs-caisses, empochant plusieurs milliers d'euros. Ils ont pris soin avant de s'enfuir de dérober les téléphones portables des employés, mais aussi les bijoux. Les malfaiteurs sont repartis à bord d'un véhicule volé à l'un des employés. Il a été retrouvé un peu plus tard calciné dans l'agglomération de Rouen.
Ce braquage, dans son mode opératoire, étant à rapprocher d'une affaire similaire où des employés avaient été saucissonnés par des malfaiteurs dans la région du Havre il y a peu de temps, c'est la division criminelle du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen qui est chargée de cette enquête.
Ces deux vols à main armée s'inscrivent dans une longue série de braquages qui a débuté samedi, au Havre déjà. Vers 7 h 20, deux individus encagoulés, gantés et armés, ont fait irruption dans le magasin Carrefour City, rue Aristide-Briand. Tandis que son complice faisait le guet à l'extérieur, l'un des braqueurs a exigé le contenu du tiroir-caisse à une des deux employées. Voyant que cela n'allait pas assez vite, ce dernier s'est acharné sur la caisse à coups de pied. Ils sont finalement repartis avec 200 euros environ et après aspergé la commerçante de gaz lacrymogène. Les deux victimes sont âgées de 57 et 40 ans.
Les malfaiteurs ligotent les cinq employés
Ce même samedi, vers 19 h 45, ce sont deux hommes encagoulés et munis d'armes de poing qui se sont attaqués au magasin Babou, rue du docteur Cotoni à Saint-Etienne-du-Rouvray, dans la banlieue de Rouen. Les malfaiteurs ont ligoté avec des cerflex les cinq employés, qui s'apprêtaient à fermer le magasin, après les avoir contraints de s'allonger sur le sol. Les braqueurs ont ensuite tranquillement vidé le contenu des tiroirs-caisses, empochant plusieurs milliers d'euros. Ils ont pris soin avant de s'enfuir de dérober les téléphones portables des employés, mais aussi les bijoux. Les malfaiteurs sont repartis à bord d'un véhicule volé à l'un des employés. Il a été retrouvé un peu plus tard calciné dans l'agglomération de Rouen.
Ce braquage, dans son mode opératoire, étant à rapprocher d'une affaire similaire où des employés avaient été saucissonnés par des malfaiteurs dans la région du Havre il y a peu de temps, c'est la division criminelle du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen qui est chargée de cette enquête.