L'auteur présumé d'inscriptions et de tags antisémites sur les locaux du Parti socialiste d'Evreux (Eure) a été identifié et interpellé mardi 13 juin. Il s'agit d'un SDF âgé de 54 ans, qui a reconnu les faits. Il a été déféré ce mercredi après-midi au palais de justice d'Évreux. Jugé en comparution immédiate, il a été condamné à 12 mois de prison dont 1 mois ferme avec mandat de dépôt à l'audience.
Dans la nuit du vendredi 20 au samedi 21 mai, les locaux de la Fédération du Parti socialiste de l’Eure, rue Joséphine, avaient été couverts de tags racistes et antisémites. Des étoiles de David et une croix gammée, avaient été peintes sur la façade ainsi que des inscriptions : « Vive le IIIe Reich », « Jude Sarko » ou encore « Marine Le Pen au pouvoir en 2017 », pouvait-on lire.
Une enquête avait été ouverte par les services de police d'Évreux, et les investigations ont permis d'identifier l'auteur présumé qui a été placé en garde à vue et déféré cet après-midi devant le tribunal correctionnel.
Le quinquagénaire a été mis hors de cause concernant d'autres inscriptions sur les murs de l'hôtel de ville et du tribunal de grande instance.
Le secrétaire départemental du Parti socialiste et maire de Val-de-Reuil, Marc-Antoine Jamet, n'avait pas tardé à réagir et à condamner ces tags. Il avait ainsi dénoncé un peu hâtivement la responsabilité de l'extrême droite et du secrétaire général du Front national, Nicolas Bay, l'accusant « d’inciter à la haine avec une parole perpétuellement dans l’excès ».
Dans la nuit du vendredi 20 au samedi 21 mai, les locaux de la Fédération du Parti socialiste de l’Eure, rue Joséphine, avaient été couverts de tags racistes et antisémites. Des étoiles de David et une croix gammée, avaient été peintes sur la façade ainsi que des inscriptions : « Vive le IIIe Reich », « Jude Sarko » ou encore « Marine Le Pen au pouvoir en 2017 », pouvait-on lire.
Une enquête avait été ouverte par les services de police d'Évreux, et les investigations ont permis d'identifier l'auteur présumé qui a été placé en garde à vue et déféré cet après-midi devant le tribunal correctionnel.
Le quinquagénaire a été mis hors de cause concernant d'autres inscriptions sur les murs de l'hôtel de ville et du tribunal de grande instance.
Le secrétaire départemental du Parti socialiste et maire de Val-de-Reuil, Marc-Antoine Jamet, n'avait pas tardé à réagir et à condamner ces tags. Il avait ainsi dénoncé un peu hâtivement la responsabilité de l'extrême droite et du secrétaire général du Front national, Nicolas Bay, l'accusant « d’inciter à la haine avec une parole perpétuellement dans l’excès ».