Les incendies de voiture ne sont pas tous le fait des violences urbaines ou de vengeance. Pour les enquêteurs il est plus difficile d'établir lorsqu'il s'agit d'une escroquerie à l'assurance (Photo d'illustration)
Deux hommes ont été placés en garde à vue ce samedi à l'hôtel de police de Rouen. L'un pour tentative d'escroquerie à l'assurance, l'autre pour incendie volontaire.
Hier soir vendredi, vers 23h30, police-secours est informée par un témoin qu'une voiture est en train de brûler rue Stanislas, à Petit-Quevilly. Les sapeurs-pompiers sont également sollicités. Quand les policiers arrivent sur place, ils constatent en effet qu'une Renault est la proie des flammes.
Mais ils remarquent aussi, et surtout, la présence sur les lieux d'un individu qui porte les stigmates de brûlures à un bras. Il est en état d'ivresse (le dépistage a révélé un taux de 2,20 g dans le sang). Les gardiens de la paix l'interrogent et il reconnaît spontanément être l'auteur de l'incendie. Plus tard en garde à vue, il précisera que c'est à la demande d'une connaissance, un Sottevillais de 39 ans, propriétaire du véhicule, qu'il a mis le feu.
Ce dernier est à son tour interpellé ce samedi dans la matinée et confirme les déclarations de l'incendiaire, âgé de 35 ans et domicilié au Mesnil-Esnard. Le but, on l'aura compris, était de se faire rembourser sa voiture par la compagnie d'assurance.
Les deux mis en cause ont été remis en liberté. Ils sont convoqués le 31 janvier prochain pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilitré (CRPC) devant le tribunal correctionnel de Rouen.
Hier soir vendredi, vers 23h30, police-secours est informée par un témoin qu'une voiture est en train de brûler rue Stanislas, à Petit-Quevilly. Les sapeurs-pompiers sont également sollicités. Quand les policiers arrivent sur place, ils constatent en effet qu'une Renault est la proie des flammes.
Mais ils remarquent aussi, et surtout, la présence sur les lieux d'un individu qui porte les stigmates de brûlures à un bras. Il est en état d'ivresse (le dépistage a révélé un taux de 2,20 g dans le sang). Les gardiens de la paix l'interrogent et il reconnaît spontanément être l'auteur de l'incendie. Plus tard en garde à vue, il précisera que c'est à la demande d'une connaissance, un Sottevillais de 39 ans, propriétaire du véhicule, qu'il a mis le feu.
Ce dernier est à son tour interpellé ce samedi dans la matinée et confirme les déclarations de l'incendiaire, âgé de 35 ans et domicilié au Mesnil-Esnard. Le but, on l'aura compris, était de se faire rembourser sa voiture par la compagnie d'assurance.
Les deux mis en cause ont été remis en liberté. Ils sont convoqués le 31 janvier prochain pour une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilitré (CRPC) devant le tribunal correctionnel de Rouen.