Le lycée technique Simone Weil à Conflans-Sainte-Honorine (Illustration)
« Vous avez joué avec le feu, tout va péter »... Branle-bas de combat des services de sécurité ce matin à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
Vers 8h45, le proviseur du lycée Simone Weil, rue du Val d’Oise, appelle le commissariat de police pour signaler qu'il vient de recevoir deux appels téléphoniques anonymes l'informant qu'une bombe va exposer à 10 heures dans l'établissement.
Une fouille en règle du lycée est effectuée par les policiers tandis que 150 élèves sont évacués et rassemblés dans la cour. Le service de déminage de la sécurité civile, basé à Versailles, est mis en état d'alerte ainsi que le centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (CODIS78), de même que la préfecture.
Après que l'établissement scolaire ait été passé au peigne fin, et qu'aucun objet suspect n'ait été découvert, il a été décidé, à 10h40, d'autoriser la réintégration des élèves.
Une heure plu tard, le proviseur recevait un nouvel appel anoyme d'un individu déclarant : « vous avez joué avec le feu, tout va péter ».
Par précaution, de nouvelles fouilles ont été entreprises avec l'aide cette fois d'un chien spécialisé dans la recherche d'explosif. A 15h40, le dispositif a été finalement levé. Il s'agissait de fausses alertes, sans doute l'oeuvre de mauvais plaisantins.
Vers 8h45, le proviseur du lycée Simone Weil, rue du Val d’Oise, appelle le commissariat de police pour signaler qu'il vient de recevoir deux appels téléphoniques anonymes l'informant qu'une bombe va exposer à 10 heures dans l'établissement.
Une fouille en règle du lycée est effectuée par les policiers tandis que 150 élèves sont évacués et rassemblés dans la cour. Le service de déminage de la sécurité civile, basé à Versailles, est mis en état d'alerte ainsi que le centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (CODIS78), de même que la préfecture.
Après que l'établissement scolaire ait été passé au peigne fin, et qu'aucun objet suspect n'ait été découvert, il a été décidé, à 10h40, d'autoriser la réintégration des élèves.
Une heure plu tard, le proviseur recevait un nouvel appel anoyme d'un individu déclarant : « vous avez joué avec le feu, tout va péter ».
Par précaution, de nouvelles fouilles ont été entreprises avec l'aide cette fois d'un chien spécialisé dans la recherche d'explosif. A 15h40, le dispositif a été finalement levé. Il s'agissait de fausses alertes, sans doute l'oeuvre de mauvais plaisantins.