Un trafiquant de drogue a été condamné aujourd'hui mardi à 1 an de prison ferme, avec mandat de dépôt, par le tribunal correctionnel d'Évreux. Chez le jeune homme, originaire de Bémécourt, dans le sud de l'Eure, les policiers ont saisi des stupéfiants, des armes et une somme importante d'argent en liquide.
L'interpellation de ce "gros poisson" sur le plan local relève d'un heureux concours de circonstances. Tout commence jeudi 7 septembre, par un banal contrôle à Évreux. Des policiers en patrouille repèrent un jeune homme en train de confectionner un joint dans sa voiture en stationnement. Lors du contrôle, ils mettent la main sur un peu plus d'un gramme de résine de cannabis. Pas de quoi fouetter un chat. Mais...
Une jeune femme placée en garde à vue
Lors de son audition, le jeune homme consent à fournir aux enquêteurs le nom de son fournisseur : il s'agit d'une jeune femme domiciliée à La Guéroulde, près de Breteuil. La brigade des stupéfiants du commissariat d'Évreux décide de rendre visite à cette femme. Une perquisition est par la même occasion effectuée à son domicile qui permet la découverte de près de 60 grammes de résine de cannabis, un plant d'herbe de cannabis, un document comptable, une balance de précision et un couteau dont la lame est noircie.
Habitués à ce genre de découverte chez les trafiquants de drogue, les policiers notifient à la jeune femme son placement en garde à vue.
Des armes et des stupéfiants saisis chez lui, à Bémécourt
La suspecte est interrogée longuement et à plusieurs reprises. Ses déclarations et les investigations policières permettent d'identifier son fournisseur. Lui aussi réside dans l'Eure, à Bémécourt, une commune voisine de La Guéroulde et de Breteuil.
Une opération de police est mise en place avec le concours d'un chien de la gendarmerie spécialisé dans la recherche de stupéfiants. Le suspect est interpellé chez lui. Il est alors en possession de deux plaquettes de résine de cannabis.
Une perquisition en règle de sa demeure est effectuée sur le champ par un officier de police judiciaire. Le résultat est assez stupéfiant puisque les policiers saisissent 2,126 kg de résine, 220 grammes d'herbe de cannabis, 30 grammes de cocaïne, 7140€ en billets de banque, un pistolet 7,65 mm avec 48 cartouches, un revolver à grenailles approvisionné et 35 cartouches à grenailles.
Le trafic durait depuis 7 mois
Ramené à Évreux, le jeune homme a reconnu lors de ses auditions en garde à vue avoir acquis, depuis au moins février dernier, quelque 5,4 kg de résine de cannabis, 800 grammes d'herbe et 30 grammes de cocaïne, pour un montant total de 19.000€.
Il a également reconnu avoir cédé 1,2 kg de cannabis en six mois à la jeune femme de La Guéroulde. Cette dernière a été remise en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel pour le 17 mars 2017.
Trois autres jeunes gens ont été entendus dans le cadre de cette affaire et se sont vu notifier une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour le 30 janvier prochain.
Tous les mis en cause sont âgés entre 18 et 20 ans.
Les stupéfiants et le matériel utilisés pour le trafic ont été saisis en vue de leur destruction. Quant à l'argent, il sera remis à l'Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (Agrasc).
L'interpellation de ce "gros poisson" sur le plan local relève d'un heureux concours de circonstances. Tout commence jeudi 7 septembre, par un banal contrôle à Évreux. Des policiers en patrouille repèrent un jeune homme en train de confectionner un joint dans sa voiture en stationnement. Lors du contrôle, ils mettent la main sur un peu plus d'un gramme de résine de cannabis. Pas de quoi fouetter un chat. Mais...
Une jeune femme placée en garde à vue
Lors de son audition, le jeune homme consent à fournir aux enquêteurs le nom de son fournisseur : il s'agit d'une jeune femme domiciliée à La Guéroulde, près de Breteuil. La brigade des stupéfiants du commissariat d'Évreux décide de rendre visite à cette femme. Une perquisition est par la même occasion effectuée à son domicile qui permet la découverte de près de 60 grammes de résine de cannabis, un plant d'herbe de cannabis, un document comptable, une balance de précision et un couteau dont la lame est noircie.
Habitués à ce genre de découverte chez les trafiquants de drogue, les policiers notifient à la jeune femme son placement en garde à vue.
Des armes et des stupéfiants saisis chez lui, à Bémécourt
La suspecte est interrogée longuement et à plusieurs reprises. Ses déclarations et les investigations policières permettent d'identifier son fournisseur. Lui aussi réside dans l'Eure, à Bémécourt, une commune voisine de La Guéroulde et de Breteuil.
Une opération de police est mise en place avec le concours d'un chien de la gendarmerie spécialisé dans la recherche de stupéfiants. Le suspect est interpellé chez lui. Il est alors en possession de deux plaquettes de résine de cannabis.
Une perquisition en règle de sa demeure est effectuée sur le champ par un officier de police judiciaire. Le résultat est assez stupéfiant puisque les policiers saisissent 2,126 kg de résine, 220 grammes d'herbe de cannabis, 30 grammes de cocaïne, 7140€ en billets de banque, un pistolet 7,65 mm avec 48 cartouches, un revolver à grenailles approvisionné et 35 cartouches à grenailles.
Le trafic durait depuis 7 mois
Ramené à Évreux, le jeune homme a reconnu lors de ses auditions en garde à vue avoir acquis, depuis au moins février dernier, quelque 5,4 kg de résine de cannabis, 800 grammes d'herbe et 30 grammes de cocaïne, pour un montant total de 19.000€.
Il a également reconnu avoir cédé 1,2 kg de cannabis en six mois à la jeune femme de La Guéroulde. Cette dernière a été remise en liberté avec une convocation devant le tribunal correctionnel pour le 17 mars 2017.
Trois autres jeunes gens ont été entendus dans le cadre de cette affaire et se sont vu notifier une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) pour le 30 janvier prochain.
Tous les mis en cause sont âgés entre 18 et 20 ans.
Les stupéfiants et le matériel utilisés pour le trafic ont été saisis en vue de leur destruction. Quant à l'argent, il sera remis à l'Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (Agrasc).