La brigade criminelle enquête sur l'agression dont a été victime un barman de Rouen par de mystérieux inconnus (Photo d'illustration Infonormandie.com)
Un homme de 37 ans a été victime d'une violente et mystérieuse agression dans la nuit de samedi 23 mars, à Rouen (Seine-Maritime).
La victime, garçon de café dans un établissement de la place du Vieux Marché, à Rouen, rentrait à pied à son domicile, rue Verte. Il se souvient de s'être arrêté dans quelques bars sur la route du retour. Le reste de ce qui s'est passé est beaucoup plus flou dans sa tête, selon ses déclarations aux enquêteurs qui l'ont entendu tout de suite après qu'il leur ait signalé les faits, vers 4 heures.
La tête en sang et les poignets ligotés
Selon ses souvenirs, vers 1 heure, il aurait été abordé par des individus alors qu'il était pratiquement arrivé chez lui, rue Verte. Ces inconnus l'auraient accompagné jusqu'à son appartement. Que s'est-il alors passé ?
Le barman retrouve ses esprits trois heures plus tard. Il a la tête en sang. Ses poignets sont ligotés avec le fil électrique d'un lampe de chevet, et il porte pour seul vêtement un caleçon. Sa sacoche a disparu : elle contenait un Iphone, un ordinateur portable, sa carte d'identité, une carte bancaire et un trousseau de clefs du bar où il travaille.
La victime ne se souvient de rien
Parvenant à se libérer de ses liens, il se rend dans un kebab du quartier pour prévenir la police. Il est 4 heures du matin.
La victime est d'abord transportée aux urgences du CHU de Rouen pour panser ses blessures, avant de pouvoir être auditionné. Son récit de l'agression, apporte peu d'éléments susceptibles d'identifier les auteurs. Le barman dit ne pas se souvenir de grand chose, ni du nombre d'individus qui l'ont agressé et passé à tabac. Il affirme également en ignorer les raisons.
Agression crapuleuse ?
Les investigations qui vont être confiées à la brigade criminelle de la Sûreté départementale s'annoncent donc particulièrement difficiles compte tenu du peu d'éléments dont disposent les enquêteurs. L'identité judiciaire a procédé à des prélèvements divers, dont d'éventuelles traces d'empreintes et d'ADN, sur les lieux de l'agression.
En l'état actuel, "aucun élément ne laissant à penser que nous pourrions avoir affaire à un acte homophobe, nous privilégions plutôt la piste d'une agression crapuleuse", confiait ce dimanche une source proche de l'enquête à Infonormandie.com.
La victime, garçon de café dans un établissement de la place du Vieux Marché, à Rouen, rentrait à pied à son domicile, rue Verte. Il se souvient de s'être arrêté dans quelques bars sur la route du retour. Le reste de ce qui s'est passé est beaucoup plus flou dans sa tête, selon ses déclarations aux enquêteurs qui l'ont entendu tout de suite après qu'il leur ait signalé les faits, vers 4 heures.
La tête en sang et les poignets ligotés
Selon ses souvenirs, vers 1 heure, il aurait été abordé par des individus alors qu'il était pratiquement arrivé chez lui, rue Verte. Ces inconnus l'auraient accompagné jusqu'à son appartement. Que s'est-il alors passé ?
Le barman retrouve ses esprits trois heures plus tard. Il a la tête en sang. Ses poignets sont ligotés avec le fil électrique d'un lampe de chevet, et il porte pour seul vêtement un caleçon. Sa sacoche a disparu : elle contenait un Iphone, un ordinateur portable, sa carte d'identité, une carte bancaire et un trousseau de clefs du bar où il travaille.
La victime ne se souvient de rien
Parvenant à se libérer de ses liens, il se rend dans un kebab du quartier pour prévenir la police. Il est 4 heures du matin.
La victime est d'abord transportée aux urgences du CHU de Rouen pour panser ses blessures, avant de pouvoir être auditionné. Son récit de l'agression, apporte peu d'éléments susceptibles d'identifier les auteurs. Le barman dit ne pas se souvenir de grand chose, ni du nombre d'individus qui l'ont agressé et passé à tabac. Il affirme également en ignorer les raisons.
Agression crapuleuse ?
Les investigations qui vont être confiées à la brigade criminelle de la Sûreté départementale s'annoncent donc particulièrement difficiles compte tenu du peu d'éléments dont disposent les enquêteurs. L'identité judiciaire a procédé à des prélèvements divers, dont d'éventuelles traces d'empreintes et d'ADN, sur les lieux de l'agression.
En l'état actuel, "aucun élément ne laissant à penser que nous pourrions avoir affaire à un acte homophobe, nous privilégions plutôt la piste d'une agression crapuleuse", confiait ce dimanche une source proche de l'enquête à Infonormandie.com.