Angerville-la-Martel est un gros bourg de 900 habitants environ situé dans le canton de Valmont et le pays de Caux
SEINE-MARITIME - Angerville-la-Martel, en Seine-Maritime, a été le théâtre d'un drame samedi. Christian Larson et son épouse Patricia ont été retrouvés morts dans leur propriété située dans le hameau de Daubeuf, un peu à l'écart de la commune. Lui était âgé de 57 ans, elle aurait eu 60 ans en juillet prochain.
Ce sont des amis de ce couple de commerçants de Fécamp, inquiets de ne pas avoir de nouvelles, qui ont alerté la gendarmerie samedi vers 16 heures. Dans l'immédiat, les enquêteurs refusent d'indiquer dans quelles circonstances ils ont été tués et s'il s'agit ou non d'un drame familial ou d'un crime de rôdeurs. Un fusil de chasse a été retrouvé sur place.
Selon nos informations, la mort remonterait à la nuit de la Saint-Valentin. L'examen des corps aura lieu en début de semaine à l'institut médico-légal de Rouen.
A la tête d'un commerce florissant
Christian et Patricia Larson étaient commerçants à Fécamp. Ils étaient à la tête de la société Baikal SA, qui exploite une enseigne Bricomarché, situé 76, boulevard de la République au coeur de la ville. Lui en était le président, elle la directrice générale. Un commerce florissant (6 545 000€ de chiffre d'affaires en 2009), spécialisé dans la quincaillerie, la peinture et les verres. Il emploie une trentaine de salariés.
A Angerville-la-Martel, un gros bourg de 900 âmes niché au coeur du pays de Caux entre Fécamp et Valmont, on essaie de comprendre ce qui s'est passé. Les investigations confiées à brigade de recherches de Fécamp devraient permettre rapidement d'apporter une réponse. Cambriolage qui aurait mal tourné ? Homicide suivi d'un suicide ? Toutes les hypothèses vont être examinées à la loupe par les enquêteurs.
"Des gens discrets"
Samedi soir, les techniciens de la cellule d'investigation criminelle (CIC) de la gendarmerie sont venus sur les lieux. Ils ont procédé jusqu'à très tard dans la nuit à des relevés et prélèvements qui seront bien utiles pour déterminer les circonstances de la mort du couple.
"C'étaient des gens très dynamiques, qui vivaient discrètement en retrait de la vie communale et avec qui j'avais de bonnes relations", confie le maire de la commune Laurent Vasset. Selon lui, rien ne laissait présager un tel drame. " C'est très surprenant ce qui s'est passé", ajoute-t-il.
Christian et Patricia Larson étaient parents d'une fille âgée d'une trentaine d'années.
Ce sont des amis de ce couple de commerçants de Fécamp, inquiets de ne pas avoir de nouvelles, qui ont alerté la gendarmerie samedi vers 16 heures. Dans l'immédiat, les enquêteurs refusent d'indiquer dans quelles circonstances ils ont été tués et s'il s'agit ou non d'un drame familial ou d'un crime de rôdeurs. Un fusil de chasse a été retrouvé sur place.
Selon nos informations, la mort remonterait à la nuit de la Saint-Valentin. L'examen des corps aura lieu en début de semaine à l'institut médico-légal de Rouen.
A la tête d'un commerce florissant
Christian et Patricia Larson étaient commerçants à Fécamp. Ils étaient à la tête de la société Baikal SA, qui exploite une enseigne Bricomarché, situé 76, boulevard de la République au coeur de la ville. Lui en était le président, elle la directrice générale. Un commerce florissant (6 545 000€ de chiffre d'affaires en 2009), spécialisé dans la quincaillerie, la peinture et les verres. Il emploie une trentaine de salariés.
A Angerville-la-Martel, un gros bourg de 900 âmes niché au coeur du pays de Caux entre Fécamp et Valmont, on essaie de comprendre ce qui s'est passé. Les investigations confiées à brigade de recherches de Fécamp devraient permettre rapidement d'apporter une réponse. Cambriolage qui aurait mal tourné ? Homicide suivi d'un suicide ? Toutes les hypothèses vont être examinées à la loupe par les enquêteurs.
"Des gens discrets"
Samedi soir, les techniciens de la cellule d'investigation criminelle (CIC) de la gendarmerie sont venus sur les lieux. Ils ont procédé jusqu'à très tard dans la nuit à des relevés et prélèvements qui seront bien utiles pour déterminer les circonstances de la mort du couple.
"C'étaient des gens très dynamiques, qui vivaient discrètement en retrait de la vie communale et avec qui j'avais de bonnes relations", confie le maire de la commune Laurent Vasset. Selon lui, rien ne laissait présager un tel drame. " C'est très surprenant ce qui s'est passé", ajoute-t-il.
Christian et Patricia Larson étaient parents d'une fille âgée d'une trentaine d'années.