Deux glacières isothermes équipées d'un double-fond servaient à dissimuler des quantités importantes de viande (Photo DDSP)
C'étaient de très bons clients pour Métro, le grossiste alimentaire des professionnels de la restauration. Le couple de restaurateurs installé à Barentin, venait deux à trois fois par semaine faire le plein en produits divers à l'entrepôt de Sotteville-lès-Rouen. Et lorsqu'il passait à la caisse, ses deux glacières isotherme étaient pleines à rabord.
Mais le responsable de Métro avait quand même certains doutes sur l'honnêteté de ces deux clients. Ils les suspectait de lui voler des marchandises, mais il ne savait pas trop bien comment ils s'y prenaient. Aussi, jeudi matin, 27 mars, il a décidé de faire un contrôle lors de leur passage en caisse vers 8 heures.
De la viande dans les double-fonds
Persuadé qu'il va découvrir enfin le pot aux roses, il prévient contre toute attente les services de police. Le responsable de Métro a le nez fin : les deux glacières isothermes sont équipées chacune d'un double-fond permettant de dissimuler d'importantes quantités de viande, soit pour une valeur de 500 euros au total.
Les faits duraient depuis le mois de juin 2012, date de l'ouverture du restaurant. Les restaurateurs ont reconnu lors de leurs auditionsn en garde à vuen qu'à chaque fois qu'ils venaient s'approvisionner, soit deux à trois fois par semaine, ils remplissaient les double-fonds de leurs malles, essentiellement de viande.
Un préjudice de 50 000€
Mais lors de la perquisition à leur domicile à Barentin, les policiers devaient découvrir aussi beaucoup de matériels informatiques (disques durs externes), de la vaisselle, des enceintes, des lots de couverts et plein d'autres objets utiles pour le fonctionnement d'un restaurant. Toutes ces marchandises étaient estampillées Métro.
Une plainte a été déposée par le grossiste alimentaire qui estime à 50 000 euros le préjudice subi. Il a indiqué aux enquêteurs qu'il avait déjà déposé plainte contre X en février 2014 après avoir constaté des vols dans son entrepôt. Il avait à ce moment-là de sérieuses suspicions à l'égard de ce couple de restaurateurs âgés âgés, lui de 59 ans, elle de 44 ans.
Tous les deux ont été remis en liberté. Ils feront l'objet d'une comparution de reconnaissance préalable de culpabité (CRPC) en juin prochain.
Mais le responsable de Métro avait quand même certains doutes sur l'honnêteté de ces deux clients. Ils les suspectait de lui voler des marchandises, mais il ne savait pas trop bien comment ils s'y prenaient. Aussi, jeudi matin, 27 mars, il a décidé de faire un contrôle lors de leur passage en caisse vers 8 heures.
De la viande dans les double-fonds
Persuadé qu'il va découvrir enfin le pot aux roses, il prévient contre toute attente les services de police. Le responsable de Métro a le nez fin : les deux glacières isothermes sont équipées chacune d'un double-fond permettant de dissimuler d'importantes quantités de viande, soit pour une valeur de 500 euros au total.
Les faits duraient depuis le mois de juin 2012, date de l'ouverture du restaurant. Les restaurateurs ont reconnu lors de leurs auditionsn en garde à vuen qu'à chaque fois qu'ils venaient s'approvisionner, soit deux à trois fois par semaine, ils remplissaient les double-fonds de leurs malles, essentiellement de viande.
Un préjudice de 50 000€
Mais lors de la perquisition à leur domicile à Barentin, les policiers devaient découvrir aussi beaucoup de matériels informatiques (disques durs externes), de la vaisselle, des enceintes, des lots de couverts et plein d'autres objets utiles pour le fonctionnement d'un restaurant. Toutes ces marchandises étaient estampillées Métro.
Une plainte a été déposée par le grossiste alimentaire qui estime à 50 000 euros le préjudice subi. Il a indiqué aux enquêteurs qu'il avait déjà déposé plainte contre X en février 2014 après avoir constaté des vols dans son entrepôt. Il avait à ce moment-là de sérieuses suspicions à l'égard de ce couple de restaurateurs âgés âgés, lui de 59 ans, elle de 44 ans.
Tous les deux ont été remis en liberté. Ils feront l'objet d'une comparution de reconnaissance préalable de culpabité (CRPC) en juin prochain.