Antonio Basto, 52 ans, habitait Bosc-Hyons, un village de Seine-Maritime, dans le Pays de Bray (Photo@copains d'avant)
Trois Français, dont un habitant de Seine-Maritime, ont été tués dans l'attentat terroriste de Ouagadougou, la capitale du Burkina-Faso. Ils travaillaient pour la société de transport Scales, spécialisée dans les transports exceptionnels et basée à Saint-Ouen-l'Aumône (Val d'Oise).
Antonio Basto, 52 ans, de nationalité portugaise, vivait en Seine-Maritime dans le village de Bosc-Hyons, entre Gournay-en-Bray et Lyons-la-Forêt et était marié avec une Française.
Les mots qu'il a échangés avec sa femme sont presque les mêmes que ceux de son collègue. «Je l'ai eu au téléphone hier et il me disait qu'il allait aller manger au restaurant. Il était content parce qu'il prenait l'avion pour rentrer à la maison», raconte-t-elle à Europe 1. «Vers 6h du soir l'ambassade m'a appelée et m'a annoncée sa mort assez brutalement, en me disant que ça avait été un vrai carnage.» «C'est l'horreur», confie-t-elle. Le couple a un petit garçon de 6 ans.
Lire la suite sur le site du Figaro
http://www.lefigaro.fr/international/2016/01/17/01003-20160117ARTFIG00048-les-francais-tues-a-ouagadougoudevaient-rentrer-ce-dimanche-a-paris.php
Antonio Basto, 52 ans, de nationalité portugaise, vivait en Seine-Maritime dans le village de Bosc-Hyons, entre Gournay-en-Bray et Lyons-la-Forêt et était marié avec une Française.
Les mots qu'il a échangés avec sa femme sont presque les mêmes que ceux de son collègue. «Je l'ai eu au téléphone hier et il me disait qu'il allait aller manger au restaurant. Il était content parce qu'il prenait l'avion pour rentrer à la maison», raconte-t-elle à Europe 1. «Vers 6h du soir l'ambassade m'a appelée et m'a annoncée sa mort assez brutalement, en me disant que ça avait été un vrai carnage.» «C'est l'horreur», confie-t-elle. Le couple a un petit garçon de 6 ans.
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http://www.lefigaro.fr/international/2016/01/17/01003-20160117ARTFIG00048-les-francais-tues-a-ouagadougoudevaient-rentrer-ce-dimanche-a-paris.php
Les autres victimes françaises de l'attentat
Arnaud Cazier, 41 ans, était marié et père d'une fille. Il habitait une petite commune, Crillon, dans l'Oise.
#Ouagadougou #BurkinaFaso recherche mon pere dont nous sommes sans nouvelles contacte moi sur fb Illona czir pic.twitter.com/shnkPFKCEO
— Illona cazier (@loonnaczr) 16 Janvier 2016
Eddie Touati, 54 ans, était père de deux enfants, un garçon de 26 ans et une fille de 22 ans. Il habitait également dans l'Oise et travaillait dans la même entreprise qu'Arnaud Cazier et Antonio Basto
Toujours sans nouvelle de mon papa qui était présent lors des attentats #Ouagadougou #BurkinaFaso pic.twitter.com/IfRa1mb0FW
— Ciinthe (@Ciinthe) 16 Janvier 2016
Papa, je n'arrive toujours pas à y croire. Tu as succomber aux balles de ces detraquer.. Mon coeur est anéantie 😭 #Ouagadougou #BurkinaFaso
— Ciinthe (@Ciinthe) 16 Janvier 2016