Antonio Basto, 52 ans, de nationalité portugaise, vivait en Seine-Maritime dans le village de Bosc-Hyons, entre Gournay-en-Bray et Lyons-la-Forêt et était marié avec une Française.
Les mots qu'il a échangés avec sa femme sont presque les mêmes que ceux de son collègue. «Je l'ai eu au téléphone hier et il me disait qu'il allait aller manger au restaurant. Il était content parce qu'il prenait l'avion pour rentrer à la maison», raconte-t-elle à Europe 1. «Vers 6h du soir l'ambassade m'a appelée et m'a annoncée sa mort assez brutalement, en me disant que ça avait été un vrai carnage.» «C'est l'horreur», confie-t-elle. Le couple a un petit garçon de 6 ans.
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Les autres victimes françaises de l'attentat
#Ouagadougou #BurkinaFaso recherche mon pere dont nous sommes sans nouvelles contacte moi sur fb Illona czir pic.twitter.com/shnkPFKCEO
— Illona cazier (@loonnaczr) 16 Janvier 2016
Toujours sans nouvelle de mon papa qui était présent lors des attentats #Ouagadougou #BurkinaFaso pic.twitter.com/IfRa1mb0FW
— Ciinthe (@Ciinthe) 16 Janvier 2016
Papa, je n'arrive toujours pas à y croire. Tu as succomber aux balles de ces detraquer.. Mon coeur est anéantie 😭 #Ouagadougou #BurkinaFaso
— Ciinthe (@Ciinthe) 16 Janvier 2016