SEINE-MARITIME - Il ne reconnaît rien, mais les policiers ont de fortes suspicions sur l'activité délictuelle de l'homme qu'ils ont confondu (et arrêté) grâce à son ADN.
A l'origine : un vol par effraction commis dans une habitation à Cléon, près d'Elbeuf, le 17 novembre 2012. Dans la majorité des cas, il est assez rare que le ou les auteurs d'un cambriolage soient identifiés après si longtemps.
Son ADN était sur un mégot
La ténacité des hommes de la Brigade de répression des cambriolages (BRC) de la Sûreté départementale, en charge des investigations, a pourtant payé. Il a suffi d'une toute petite trace d'ADN prélevée sur un mégot de cigarette pour remonter jusqu'au cambrioleur présumé. Il est vrai que le suspect, un Arménien de 41 ans, était déjà fiché par la police pour trafic de stupéfiant au niveau international.
Restait quand même à le localiser, d'autant qu'il vivait dans un foyer de Oissel. Ainsi, le 10 septembre dernier, les policiers sont venus toquer à la porte de sa chambre. Il leur a ouvert. Ils l'ont interpellé et procédé illico à une perquisition.
150 bijoux retrouvés dans sa chambre
En fouillant les quelques meubles de la pièce, les enquêteurs ont mis la main sur une quantité assez impressionnantes d'objets provenant de vols par effraction : colliers, bagues, pendulettes, chaînes de cou, pendentifs, montres etc. Au total, 194 objets suspects, dont 150 bijoux en or de différentes valeurs.
Les premières investigations de la Brigade de répression des cambriolages a déjà permis d'identifier formellement quatre victimes : deux à Rouen, deux dans des communes de l'Isère.
En garde à vue, le suspect n'a rien voulu reconnaître. Il a été néanmoins placé en détention provisoire à la prison Bonne Nouvelle de Rouen dans le cadre d'une autre affaire, un vol par effraction, pour purger une peine de sept mois de prison. Pendant ce temps là, les policiers rouennais vont pouvoir continuer leur enquête et tentait de retrouver les propriétaires des objets qui sont en leur possession.
A l'origine : un vol par effraction commis dans une habitation à Cléon, près d'Elbeuf, le 17 novembre 2012. Dans la majorité des cas, il est assez rare que le ou les auteurs d'un cambriolage soient identifiés après si longtemps.
Son ADN était sur un mégot
La ténacité des hommes de la Brigade de répression des cambriolages (BRC) de la Sûreté départementale, en charge des investigations, a pourtant payé. Il a suffi d'une toute petite trace d'ADN prélevée sur un mégot de cigarette pour remonter jusqu'au cambrioleur présumé. Il est vrai que le suspect, un Arménien de 41 ans, était déjà fiché par la police pour trafic de stupéfiant au niveau international.
Restait quand même à le localiser, d'autant qu'il vivait dans un foyer de Oissel. Ainsi, le 10 septembre dernier, les policiers sont venus toquer à la porte de sa chambre. Il leur a ouvert. Ils l'ont interpellé et procédé illico à une perquisition.
150 bijoux retrouvés dans sa chambre
En fouillant les quelques meubles de la pièce, les enquêteurs ont mis la main sur une quantité assez impressionnantes d'objets provenant de vols par effraction : colliers, bagues, pendulettes, chaînes de cou, pendentifs, montres etc. Au total, 194 objets suspects, dont 150 bijoux en or de différentes valeurs.
Les premières investigations de la Brigade de répression des cambriolages a déjà permis d'identifier formellement quatre victimes : deux à Rouen, deux dans des communes de l'Isère.
En garde à vue, le suspect n'a rien voulu reconnaître. Il a été néanmoins placé en détention provisoire à la prison Bonne Nouvelle de Rouen dans le cadre d'une autre affaire, un vol par effraction, pour purger une peine de sept mois de prison. Pendant ce temps là, les policiers rouennais vont pouvoir continuer leur enquête et tentait de retrouver les propriétaires des objets qui sont en leur possession.
Reconnaissez-vous ces bijoux ?
La Brigade de répression des cambriolages a listé les 194 objets provenant de vols par effraction. Les éventuelles victimes sont invitées à consulter le site de la Police nationale - Cliquez ici et indiquez le n° 76001 dans la case "référence d'objet ou d'affaire" - afin qu'elles puissent, le cas échéant, se signaler auprès des enquêteurs en vue de la restitution de leurs biens.
Cette montre à goussets fait partie des objets retrouvés dans la chambre du suspect