Des investigations de police technique et scientifique sont réalisées depuis ce matin sur la scène de crime par la cellule d'identification criminelle de la gendarmerie - Illustration
Un policier de Seine-Maritime s'est donné la mort avec son arme de service ce jeudi matin. Le drame s'est produit aux alentours de 8 heures dans la demeure familiale du fonctionnaire à Saint-Saëns, une commune du pays de Bray, en Seine-Maritime.
Le gardien de la paix, âgé de 44 ans, affecté à l'hôtel de police de Rouen, siège de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP), aurait auparavant aspergé le visage de son épouse avec un produit chimique (il pourrait s'agir d'acide). Il se serait ensuite donné la mort.
Grièvement blessée, la femme, âgée de 45 ans et mère de deux enfants, a été transportée par hélicoptère vers l'hôpital militaire Percy, à Clamart (Hauts-de-Seine), un établissement spécialisé dans la prise en charge des grands brûlés.
La gendarmerie, à qui l'enquête a été confiée, se refusait ce matin à tout commentaire sur ce drame. Dans l'immédiat, la nature et les circonstances des faits restent inexpliquées.
Des investigations de police technique et scientifique sont en cours sur la scène de crime.
Le gardien de la paix, âgé de 44 ans, affecté à l'hôtel de police de Rouen, siège de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP), aurait auparavant aspergé le visage de son épouse avec un produit chimique (il pourrait s'agir d'acide). Il se serait ensuite donné la mort.
Grièvement blessée, la femme, âgée de 45 ans et mère de deux enfants, a été transportée par hélicoptère vers l'hôpital militaire Percy, à Clamart (Hauts-de-Seine), un établissement spécialisé dans la prise en charge des grands brûlés.
La gendarmerie, à qui l'enquête a été confiée, se refusait ce matin à tout commentaire sur ce drame. Dans l'immédiat, la nature et les circonstances des faits restent inexpliquées.
Des investigations de police technique et scientifique sont en cours sur la scène de crime.