Les pompiers ont fait intervenir leur véhicule d'intervention des risques technologiques (Illustration)
Des émanations d'un produit supposé toxique ont nécessité la mise en place d'un périmètre de sécurité hier soir rue Pierre Sémard, à Petit-Quevilly (Seine-Maritime).
Les sapeurs-pompiers sont intervenus vers 22 heures, au domicilie d'un homme de 55 ans qui, en manipulant une fiole d'une dizaine de centilitres, a renversé quelques gouttes du produit qu'elle contenait sur les vêtements de son épouse. Le liquide a immédiatement dégagé une odeur acide et nauséabonde, incommandant les occupants du pavillon et le voisinage.
Quatre personnes hospitalisées
Le quinquagénaire, son épouse de 45 ans, leur fils de 25 ans et une jeune femme de 19 ans, ont été transportés pour examen au centre hospitalier universitaire de Rouen. Les autres victimes, très légèrement incommodés, ont été examinés sur place par le médecin du SAMU.
La fiole, jetée dans le jardin par le propriétaire, a été récupérée par les pompiers et placée dans une boite hermétique.
Un composé de gaz lacrymogène
Par précaution, en attendant les résultats de l'analyse du produit, le centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis76) a mobilisé la cellule des risques chimiques et technologiques pour des prélèvements. Parallèlement, il a été fait appel aux spécialistes de la sécurité civile de Nogent-le-Rotrou (Eure et Loir) qui ont déterminé que le produit était un composé de gaz lacrymogène, qui ne présentait pas de véritable danger.
Ouf de soulagement dans le quartier maintenu en haleine pendant plus de deux heures.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus vers 22 heures, au domicilie d'un homme de 55 ans qui, en manipulant une fiole d'une dizaine de centilitres, a renversé quelques gouttes du produit qu'elle contenait sur les vêtements de son épouse. Le liquide a immédiatement dégagé une odeur acide et nauséabonde, incommandant les occupants du pavillon et le voisinage.
Quatre personnes hospitalisées
Le quinquagénaire, son épouse de 45 ans, leur fils de 25 ans et une jeune femme de 19 ans, ont été transportés pour examen au centre hospitalier universitaire de Rouen. Les autres victimes, très légèrement incommodés, ont été examinés sur place par le médecin du SAMU.
La fiole, jetée dans le jardin par le propriétaire, a été récupérée par les pompiers et placée dans une boite hermétique.
Un composé de gaz lacrymogène
Par précaution, en attendant les résultats de l'analyse du produit, le centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis76) a mobilisé la cellule des risques chimiques et technologiques pour des prélèvements. Parallèlement, il a été fait appel aux spécialistes de la sécurité civile de Nogent-le-Rotrou (Eure et Loir) qui ont déterminé que le produit était un composé de gaz lacrymogène, qui ne présentait pas de véritable danger.
Ouf de soulagement dans le quartier maintenu en haleine pendant plus de deux heures.