Les marchandises provenant d'un cambriolage au Havre ont été saisies par la gendarmerie. Elles vont être restituées à leur propriétaire dans les prochains jours (Photo DR)
SEINE-MARITIME. Dans le cadre d'une opération de contrôles routiers, opérée dans la nuit de samedi 24 à dimanche 25 mai, les gendarmes de la compagnie d'Yvetot ont intercepté une équipe de cambrioleurs à un barrage installé à un rond-point d'Ecalles-Alix.
Il est 4 heures du matin. L'attention des gendarmes, plutôt mobilisés cette nuit là pour lutter contre l'alcool au volant, est attirée par un fourgon Citroën, immatriculé en Seine-Saint-Denis, avec quatre hommes à bord. Comme il est d'usage, les gendarmes contrôlent les pièces du véhicule (carte grise, assurance et contrôle technique) et celles de son conducteur (permis de conduire et identité).
Une cargaison qui intrigue les gendarmes
En jetant un rapide coup d'oeil avec leur torche à l'intérieur de la fourgonnette, les militaires remarquent une multitude de cartons et de sacs, dont des ballots de toile. A l'intérieur des emballages, une quantité importante de vêtements neufs dont certains portent la griffe de la Halle aux vêtements. Intrigués, les gendarmes demandent aux occupants des explications sur la provenance de ces marchandises.
Mais aucun des quatre hommes, originaires de la communauté Roms, ne parle un mot de Français. Les suspects sont ramenés à la brigade d'Yvetot pour être auditionnés avec l'aide d'un interprète. L'un des hommes affirme finalement que la marchandise a été achetée dans la région de Fécamp.
La marchandise provient d'un cambriolage
Une explication peu convaincante pour les enquêteurs qui commencent alors une série d'investigations. Ils sont persuadés que le stock de vêtements (robes, pantalons, chaussures, sacs de marque...) découvert dans le fourgon provient d'un vol par effraction. De fait, l'enquête qui mobilise aussi la brigade de recherche (BR) et le peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) deux unités de la compagnie d'Yvetot, permet d'apprendre qu'un entrepôt a été cambriolé au Havre dans le courant du week-end et que la marchandise provient de là.
La garde à vue des quatre individus, membres d'une même famille, est prolongée de 24 heures, afin de permettre aux gendarmes de faire toute la lumière sur cette affaire. Finalement, les mis en cause ont été placés lundi soir en détention provisoire pour recel de vol afin d'être jugés en comparution immédiate ce mardi 27 mai, devant le tribunal correctionnel de Rouen.
Il est 4 heures du matin. L'attention des gendarmes, plutôt mobilisés cette nuit là pour lutter contre l'alcool au volant, est attirée par un fourgon Citroën, immatriculé en Seine-Saint-Denis, avec quatre hommes à bord. Comme il est d'usage, les gendarmes contrôlent les pièces du véhicule (carte grise, assurance et contrôle technique) et celles de son conducteur (permis de conduire et identité).
Une cargaison qui intrigue les gendarmes
En jetant un rapide coup d'oeil avec leur torche à l'intérieur de la fourgonnette, les militaires remarquent une multitude de cartons et de sacs, dont des ballots de toile. A l'intérieur des emballages, une quantité importante de vêtements neufs dont certains portent la griffe de la Halle aux vêtements. Intrigués, les gendarmes demandent aux occupants des explications sur la provenance de ces marchandises.
Mais aucun des quatre hommes, originaires de la communauté Roms, ne parle un mot de Français. Les suspects sont ramenés à la brigade d'Yvetot pour être auditionnés avec l'aide d'un interprète. L'un des hommes affirme finalement que la marchandise a été achetée dans la région de Fécamp.
La marchandise provient d'un cambriolage
Une explication peu convaincante pour les enquêteurs qui commencent alors une série d'investigations. Ils sont persuadés que le stock de vêtements (robes, pantalons, chaussures, sacs de marque...) découvert dans le fourgon provient d'un vol par effraction. De fait, l'enquête qui mobilise aussi la brigade de recherche (BR) et le peloton de surveillance et d'intervention (PSIG) deux unités de la compagnie d'Yvetot, permet d'apprendre qu'un entrepôt a été cambriolé au Havre dans le courant du week-end et que la marchandise provient de là.
La garde à vue des quatre individus, membres d'une même famille, est prolongée de 24 heures, afin de permettre aux gendarmes de faire toute la lumière sur cette affaire. Finalement, les mis en cause ont été placés lundi soir en détention provisoire pour recel de vol afin d'être jugés en comparution immédiate ce mardi 27 mai, devant le tribunal correctionnel de Rouen.