Une jeune femme de 18 ans a été placée en garde à vue ce mardi matin , pour appels malveillants et menace d'attentat. Elle a été interpellée au domicile de sa mère à Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime), par les policiers rouennais.
Hier, lundi 3 octobre, entre 18 heures et 19 heures, trois SMS sont arrivés sur la ligne d'urgence de la SNCF, indiquant qu'il allait y avoir un attentat à la gare du Nord, à Paris. Immédiatement, des mesures de sécurité ont été prises dans l'enceinte de la gare.
Saisis de l'enquête, les services de police parisiens sont parvenus dans la nuit à localiser la ligne du téléphone portable qui avait été utilisée pour envoyer ces messages. Son propriétaire a été identifié : il s'agissait d'un homme domicilié à Sotteville-lès-Rouen.
Pour s'amuser
Les policiers rouennais se sont présentés à son domicile ce matin à 6 heures. Le suspect a alors déclaré que c'est sa fille, qui demeure à quelques centaines de mètres de chez lui, qui a utilisé l'appareil. Les forces de l'ordre sont donc allés chez la jeune femme qui vit chez sa mère et l'ont interpellée à 7 heures.
Placée en garde à vue, elle a reconnu avoir envoyé ces SMS "pour s'amuser". Faute d'autres explications, le magistrat du parquet de Rouen pourrait ordonner une expertise psychiatrique de la jeune femme qui aurait "un âge mental de 12 ans", selon les déclarations de sa mère à la police.
Hier, lundi 3 octobre, entre 18 heures et 19 heures, trois SMS sont arrivés sur la ligne d'urgence de la SNCF, indiquant qu'il allait y avoir un attentat à la gare du Nord, à Paris. Immédiatement, des mesures de sécurité ont été prises dans l'enceinte de la gare.
Saisis de l'enquête, les services de police parisiens sont parvenus dans la nuit à localiser la ligne du téléphone portable qui avait été utilisée pour envoyer ces messages. Son propriétaire a été identifié : il s'agissait d'un homme domicilié à Sotteville-lès-Rouen.
Pour s'amuser
Les policiers rouennais se sont présentés à son domicile ce matin à 6 heures. Le suspect a alors déclaré que c'est sa fille, qui demeure à quelques centaines de mètres de chez lui, qui a utilisé l'appareil. Les forces de l'ordre sont donc allés chez la jeune femme qui vit chez sa mère et l'ont interpellée à 7 heures.
Placée en garde à vue, elle a reconnu avoir envoyé ces SMS "pour s'amuser". Faute d'autres explications, le magistrat du parquet de Rouen pourrait ordonner une expertise psychiatrique de la jeune femme qui aurait "un âge mental de 12 ans", selon les déclarations de sa mère à la police.