L'impasse des Arquebusiers serait un "refuge" pour les prostituées selon les riverains (@Google Maps)
ROUEN (Seine-Maritime) - Régulièrement des plaintes émanant de riverains de l'impasse des Arquebusiers, sur la droite droite de Rouen, sont déposées tant auprès de la mairie que des services de police. Les habitants de ce coin tranquille qui débouche sur le boulevard de Verdun, disent en avoir assez du défilé ininterrompu de jeunes femmes plus ou moins vêtues légèrement dans la pénombre de leur impasse.
Tout aussi régulièrement, la police procède à des contrôles et à des surveillances. La dernière en date, dans la nuit de jeudi à ce vendredi 1er novembre, a permis d'interpeller une prostituée âgée de 26 ans et de nationalité nigériane. La jeune femme, "courtement habillée" a été repérée vers 23 h 40 par un équipage de la brigade anti-criminalité (BAC) alors qu'elle venait de faire des signes à un automobiliste.
Ce dernier, au volant d'un Renault Trafic, s'est arrêté et après une rapide discussion a fait monter la "belle de nuit" dans son véhicule. Puis direction un parking sauvage situé rue de l'Abreuvoir où la camionnette s'est stationnée à l'abri d'éventuels regards indiscrets. Les hommes de la BAC qui ont suivi le manège ...et le Trafic blanc sont venus toquer à la vitre...
Au cours du contrôle d'identité, les fonctionnaires ont constaté que la jeune femme, originaire de Bénin-City, faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire (OQT). Elle a été placée en garde à vue pour "racolage" et "travail dissimulé".
Le client, lui, qui avait déboursé 20 euros pour une fellation, a pu rentrer chez lui après vérification de sa situation.
Tout aussi régulièrement, la police procède à des contrôles et à des surveillances. La dernière en date, dans la nuit de jeudi à ce vendredi 1er novembre, a permis d'interpeller une prostituée âgée de 26 ans et de nationalité nigériane. La jeune femme, "courtement habillée" a été repérée vers 23 h 40 par un équipage de la brigade anti-criminalité (BAC) alors qu'elle venait de faire des signes à un automobiliste.
Ce dernier, au volant d'un Renault Trafic, s'est arrêté et après une rapide discussion a fait monter la "belle de nuit" dans son véhicule. Puis direction un parking sauvage situé rue de l'Abreuvoir où la camionnette s'est stationnée à l'abri d'éventuels regards indiscrets. Les hommes de la BAC qui ont suivi le manège ...et le Trafic blanc sont venus toquer à la vitre...
Au cours du contrôle d'identité, les fonctionnaires ont constaté que la jeune femme, originaire de Bénin-City, faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire (OQT). Elle a été placée en garde à vue pour "racolage" et "travail dissimulé".
Le client, lui, qui avait déboursé 20 euros pour une fellation, a pu rentrer chez lui après vérification de sa situation.