Une équipe structurée de voleurs de cuivre, qui opérait sur des chantiers dans le Val d'Oise, viennent d'être interpelléé par les enquêteurs de la Sûreté départementale du Val d'Oise.
Au début du mois d'avril dernier, les services de police du Val d'Oise sont saisis d'une plainte d'un homme qui déclare avoir été victime de violences volontaires, au motif qu'il ne désire plus récupérer des métaux stockés sur des chantiers, comprenant que cette activité était illégale.
L'argent sale était blanchi à l'étranger
Au cours de son audition, la victime dévoile les contours d'une organisation bien structurée, qui selon lui dérobe entre 2 à 3 tonnes de cuivre chaque nuit. Depuis un an environ, des invidus écument les chantiers appartenant à un opérateur de téléphonie. Le cuivre est ensuite écoulé de façon « légale » par l'intermédiaire d'une société de recyclage ayant pignon sur rue à Romainville, en Seine-Saint-Denis.
Les sommes, importantes, ainsi récoltées sont pour l'essentiel expédiées à l'étranger où la tête de réseau investit dans des biens immobiliers. Une petite part du "butin" sert à rétribuer les « petites mains » travaillant pour son compte. Dans la plupart des cas, "il bénéficie de complicités internes au sein de la société de téléphonie, qui lui permettent de toujours de connaître parfaitement les emplacements de stockage des matériaux", confie une source proche de l'enquête.
Plusieurs centaines de millers d'euros
Identifiée après de longues et difficiles investigations, cinq membres de l'équipe de voleurs présumés est interpellée mardi 14 octobre au petit matin. Les suspects sont placés en garde à vue. Le préjudice des vols qui leur sont reprochés atteindrait, pour l'heure, plusieurs centaines de milliers d'euros.
Au début du mois d'avril dernier, les services de police du Val d'Oise sont saisis d'une plainte d'un homme qui déclare avoir été victime de violences volontaires, au motif qu'il ne désire plus récupérer des métaux stockés sur des chantiers, comprenant que cette activité était illégale.
L'argent sale était blanchi à l'étranger
Au cours de son audition, la victime dévoile les contours d'une organisation bien structurée, qui selon lui dérobe entre 2 à 3 tonnes de cuivre chaque nuit. Depuis un an environ, des invidus écument les chantiers appartenant à un opérateur de téléphonie. Le cuivre est ensuite écoulé de façon « légale » par l'intermédiaire d'une société de recyclage ayant pignon sur rue à Romainville, en Seine-Saint-Denis.
Les sommes, importantes, ainsi récoltées sont pour l'essentiel expédiées à l'étranger où la tête de réseau investit dans des biens immobiliers. Une petite part du "butin" sert à rétribuer les « petites mains » travaillant pour son compte. Dans la plupart des cas, "il bénéficie de complicités internes au sein de la société de téléphonie, qui lui permettent de toujours de connaître parfaitement les emplacements de stockage des matériaux", confie une source proche de l'enquête.
Plusieurs centaines de millers d'euros
Identifiée après de longues et difficiles investigations, cinq membres de l'équipe de voleurs présumés est interpellée mardi 14 octobre au petit matin. Les suspects sont placés en garde à vue. Le préjudice des vols qui leur sont reprochés atteindrait, pour l'heure, plusieurs centaines de milliers d'euros.