Une femme âgée d'une cinquantaine d'années, victime de violences, a déposé plainte contre son compagnon à la gendarmerie de Verneuil-sur-Avre, dans l'Eure.
Les faits. Samedi dernier (17 septembre), elle décide de venir rencontrer les gendarmes dans l'intention de déposer plainte contre son conjoint. Les militaires constatent immédiatement qu'elle porte des traces de coups au visage.
La quinquagénaire raconte avec force détail que la veille son compagnon lui a assené plusieurs coups de pieds, ainsi qu’un coup de poing au visage alors qu’il rentrait du travail.
Le mis en cause est Interpellé et placé en garde à vue, pour violences volontaires aggravées. Il devra prochainement répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel d’Évreux.
30 jours d'ITT
Dans l'attente du procès (il a été remis en liberté) des mesures immédiates d’éloignement entre la victime et l’auteur ont été prises par le magistrat du parquet.
Examinée par un médecin, la victime s'est vu prescrire 30 jours d’ITT (interruption temporaire de travail).
"Nous ne pouvons qu’encourager les victimes de violences conjugales à prendre contact avec les unités de gendarmerie ou de police", écrit la gendarmerie de l'Eure sur sa page Facebook.
Les faits. Samedi dernier (17 septembre), elle décide de venir rencontrer les gendarmes dans l'intention de déposer plainte contre son conjoint. Les militaires constatent immédiatement qu'elle porte des traces de coups au visage.
La quinquagénaire raconte avec force détail que la veille son compagnon lui a assené plusieurs coups de pieds, ainsi qu’un coup de poing au visage alors qu’il rentrait du travail.
Le mis en cause est Interpellé et placé en garde à vue, pour violences volontaires aggravées. Il devra prochainement répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel d’Évreux.
30 jours d'ITT
Dans l'attente du procès (il a été remis en liberté) des mesures immédiates d’éloignement entre la victime et l’auteur ont été prises par le magistrat du parquet.
Examinée par un médecin, la victime s'est vu prescrire 30 jours d’ITT (interruption temporaire de travail).
"Nous ne pouvons qu’encourager les victimes de violences conjugales à prendre contact avec les unités de gendarmerie ou de police", écrit la gendarmerie de l'Eure sur sa page Facebook.