La piscine Montbauron (Illustration©Facebook)
Depuis le début de l’année, le commissariat de Versailles (Yvelines) a enregistré une série de plaintes de baigneuses de la piscine Montbauron qui ont expliqué avoir été filmées à leur insu alors qu'elles se mettaient en maillot de bain dans les cabines.
"Plusieurs victimes ont précisé avoir repéré une main munie d'un téléphone portable blanc sans pouvoir fournir d'autres éléments", relate une source proche de l'enquête.
Il filmait plusieurs fois dans la journée
Les enquêtrices du Groupe local de protection de la famille (GLPF) de la sûreté urbaine ont procédé à l’analyse des images de vidéoprotection de la piscine et ont pu concentrer leurs recherches sur un Versaillais de 56 ans au comportement plus que suspect.
Les investigations ont permis d'établir que le suspect pouvait venir plusieurs fois dans une même journée, en multipliant les entrées et les sorties et même parfois sans se baigner.
Il se jette à l'eau à l'arrivée des policiers
Le mercredi 22 février dernier, un dispositif de surveillance a été mis en place et a permis de l’interpeller à la sortie du bassin. Pour échapper aux policiers dont il avait repéré la présence, le mis en cause s’est précipité dans l’eau. Son téléphone, pièce à conviction, a été découvert dans son casier.
Lors des auditions, le quinquagénaire a reconnu l'intégralité des faits. Il a expliqué avoir commencé à filmer les femmes sous les cabines depuis plus d’un an.
Une dizaine de victimes identifiées
Lors des investigations techniques sur son téléphone portable et sa tablette, les enquêtrices ont découvert plus d'une centaine de vidéos. L'homme a déclaré regarder ces films chez lui pour son plaisir sans les diffuser sur internet et a expliqué son comportement déviant par "une profonde solitude et la pauvreté de sa vie sexuelle".
Une dizaine de victimes ont pu être identifiées à ce jour.
Sur instruction du magistrat du parquet de Versailles, le mis en cause a été déféré au palais de justice. Il a été laissé libre et placé sous contrôle judiciaire.
"Plusieurs victimes ont précisé avoir repéré une main munie d'un téléphone portable blanc sans pouvoir fournir d'autres éléments", relate une source proche de l'enquête.
Il filmait plusieurs fois dans la journée
Les enquêtrices du Groupe local de protection de la famille (GLPF) de la sûreté urbaine ont procédé à l’analyse des images de vidéoprotection de la piscine et ont pu concentrer leurs recherches sur un Versaillais de 56 ans au comportement plus que suspect.
Les investigations ont permis d'établir que le suspect pouvait venir plusieurs fois dans une même journée, en multipliant les entrées et les sorties et même parfois sans se baigner.
Il se jette à l'eau à l'arrivée des policiers
Le mercredi 22 février dernier, un dispositif de surveillance a été mis en place et a permis de l’interpeller à la sortie du bassin. Pour échapper aux policiers dont il avait repéré la présence, le mis en cause s’est précipité dans l’eau. Son téléphone, pièce à conviction, a été découvert dans son casier.
Lors des auditions, le quinquagénaire a reconnu l'intégralité des faits. Il a expliqué avoir commencé à filmer les femmes sous les cabines depuis plus d’un an.
Une dizaine de victimes identifiées
Lors des investigations techniques sur son téléphone portable et sa tablette, les enquêtrices ont découvert plus d'une centaine de vidéos. L'homme a déclaré regarder ces films chez lui pour son plaisir sans les diffuser sur internet et a expliqué son comportement déviant par "une profonde solitude et la pauvreté de sa vie sexuelle".
Une dizaine de victimes ont pu être identifiées à ce jour.
Sur instruction du magistrat du parquet de Versailles, le mis en cause a été déféré au palais de justice. Il a été laissé libre et placé sous contrôle judiciaire.