Les enregistrements des caméras de vidéosurveillance ont permis de confondre les incendiaires - illustration @ Adobe Stock
Samedi 26 mars, vers 20h30, les sapeurs-pompiers interviennent rue Francois-Couperin sur les Hauts-de-Rouen pour un container poubelle en feu.
Un équipage de la brigade spécialisée de terrain (BST) se rend sur place, à hauteur de l’arrêt de bus Couperin, pour sécuriser l’intervention des soldats du feu. A cet instant, la voiture de police est visée par des jets de projectiles. Touché, le pare-brise avant du véhicule vole en éclats. Le ou les auteurs ne sont pas retrouvés, malgré les recherches.
Un équipage de la brigade spécialisée de terrain (BST) se rend sur place, à hauteur de l’arrêt de bus Couperin, pour sécuriser l’intervention des soldats du feu. A cet instant, la voiture de police est visée par des jets de projectiles. Touché, le pare-brise avant du véhicule vole en éclats. Le ou les auteurs ne sont pas retrouvés, malgré les recherches.
Une deuxième poubelle en feu
A peine une heure plus tard, rebelote : nouvelle intervention des sapeurs-pompiers toujours rue François-Couperin. Une poubelle brûle. A l’arrivée des policiers les incendiaires ont évidemment pris la fuite.
Sans le savoir, ces derniers, au nombre de quatre, ont été filmés par la caméra de vidéosurveillance. Les images visionnées par les policiers permet de voir quatre jeunes gens mettre le feu à la poubelle puis s’enfuir vers la rue Georges-Braque et se réfugier dans un immeuble. C’est là que les incendiaires, âgés de 12, 14 et 16 ans, seront interpellés.
Placés en garde à vue (le plus jeune a été placé en rétention judiciaire) les mis en cause ont fait l’objet d’un rappel à la loi.
Sans le savoir, ces derniers, au nombre de quatre, ont été filmés par la caméra de vidéosurveillance. Les images visionnées par les policiers permet de voir quatre jeunes gens mettre le feu à la poubelle puis s’enfuir vers la rue Georges-Braque et se réfugier dans un immeuble. C’est là que les incendiaires, âgés de 12, 14 et 16 ans, seront interpellés.
Placés en garde à vue (le plus jeune a été placé en rétention judiciaire) les mis en cause ont fait l’objet d’un rappel à la loi.