Défavorablement connu des policiers de Saint-Germain-en-Laye, l'un des auteurs de l'attaque du poste de police municipale a pu être identifié et interpellé - Illustration ® Adobe Stock
Dans la nuit du 29 au 30 juin dernier, lors d'un attroupement, des individus certains cagoulés d'autres portant des capuches avaient explosé les portes vitrées du poste de police à coups de pied, de barre en métal et de cailloux. Ils étaient parvenus à pénétrer dans le hall de l'immeuble.
L'exploitation des la vidéosurveillance a permis de cibler parmi les émeutiers « un homme portant un plâtre au bras droit ».
L'exploitation des la vidéosurveillance a permis de cibler parmi les émeutiers « un homme portant un plâtre au bras droit ».
Sur les images on le voit à trois reprises durant les dégradations et plus particulièrement en train de s’en prendre au véhicule de la police municipale garée à proximité, relate une source policière.
Il reconnaît sa participation aux faits
Quelques jours plus tard, les caméras de vidéoprotection de la ville ont permis de repérer un homme dans la rue avec un plâtre au bras identique à celui que portait l'individu recherché. Identifié formellement, ce sangermanois de 21 ans, connu défavorablement des services de police, a été convoqué au commissariat et placé en garde à vue.
Lors de son interrogatoire, il s’est reconnu sur les images comme étant l'individu porteur du plâtre et a avoué avoir participé à cet attroupement.
Le mis en cause s’est vu notifier une convocation en vue d’une vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité pour le 10 janvier 2024 doublée d’une convocation devant le tribunal judiciaire pour le 2 avril prochain au cas où il ne se présenterait pas à la première audience.
Lors de son interrogatoire, il s’est reconnu sur les images comme étant l'individu porteur du plâtre et a avoué avoir participé à cet attroupement.
Le mis en cause s’est vu notifier une convocation en vue d’une vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité pour le 10 janvier 2024 doublée d’une convocation devant le tribunal judiciaire pour le 2 avril prochain au cas où il ne se présenterait pas à la première audience.