Les forces de l’ordre ont fait usage d’armes anti-émeutes pour ramener le calme - illustration
Des affrontements entre bandes, dont une venue d’Argenteuil dans le Val-d’Oise, ont opposé une cinquantaine de jeunes, ce dimanche 14 juin en début de nuit, rue Hoche à Houilles (Yvelines).
Certains des protagonistes étaient armés de béquilles et de barres de fer. Dans les échanges de coups, parfois violents, deux jeunes de Sartrouville ont été blessés : ils ont été pris en charge par les pompiers et transportés à l’hôpital. L’un (18 ans) souffrait d’une importante blessure à un poignet et l’autre (19 ans) d’une plaie suturable au crâne.
Certains des protagonistes étaient armés de béquilles et de barres de fer. Dans les échanges de coups, parfois violents, deux jeunes de Sartrouville ont été blessés : ils ont été pris en charge par les pompiers et transportés à l’hôpital. L’un (18 ans) souffrait d’une importante blessure à un poignet et l’autre (19 ans) d’une plaie suturable au crâne.
Deux auteurs de violences interpellés
Des jets de mortier ont été signalés sur le secteur et deux suspects, désignés par des riverains comme étant les auteurs de violences, ont été interpellés alors qu’ils tentaient de prendre la fuite. Il s’agit de deux hommes âgés de 19 ans et originaires de Sartrouville et Argenteuil.
Des cocktails molotov préparés par les auteurs des violences ont été découverts sur les lieux et détruits par les policiers de la brigade anticriminalité (BAC).
Des cocktails molotov préparés par les auteurs des violences ont été découverts sur les lieux et détruits par les policiers de la brigade anticriminalité (BAC).
La police disperse les belligérants
Des « armes par destination » ont également été retrouvées cachées sous les véhicules en stationnement, à savoir des battes de baseball, des béquilles, des tubes de mortiers et des extincteurs.
L’intervention des forces de l’ordre, qui ont dû faire usage de grenades lacrymogènes, a permis de mettre un terme aux violences et de disperser les belligérants.
L’intervention des forces de l’ordre, qui ont dû faire usage de grenades lacrymogènes, a permis de mettre un terme aux violences et de disperser les belligérants.