Les hommes du RAID, l'unité d'élite de la police nationale, étaient prêts à intervenir si besoin était (Photo d'illustration DGPN)
Quatre individus ont été interpellés en douceur hier mercredi vers 17 heures, par les policiers de la brigade anti-criminalité (BAC), à Maurecourt, près de Conflans-Saint-Honorine (Yvelines).
Vers 17 heures, le commissariat de police de Conflans est informé que des coups de feu ont été entendus rue Lucien Julia. Plusieurs équipages de policiers se rendent immédiatement à l'adresse indiquée par ce témoin. Un périmètre de sécurité est aussitôt établi autour de l'immeuble où, à l'arrivée des forces de l'ordre, de nouvelles détonations se font entendre.
Le RAID prêt à intervenir
Par précaution, le RAID, l'unité d'élite de la police nationale, est mis en pré-alerte mais il n'aura pas, finalement, à intervenir. En effet, l'un des suspects est interpellé par la BAC alors qu'il se trouve au rez-de-chaussée de l'immeuble. Un deuxième homme, son demi-frère, est appréhendé cinq minutes plus tard, également au bas des escaliers.
Les policiers effectuent ensuite une sécurisation de l'appartement d'où ont été tirés les coups de feu et interpellent deux autres suspects réfugiés dans la chambre. Sur une table basse, les gardiens de la paix découvrent un pistolet tirant des cartouches à blanc ou à gaz, ainsi qu'un chargeur et des cartouches.
Il reconnait avoir tiré
Au cours des auditions, en garde à vue, l'un des individus a reconnu avoir fait usage de l'arme par la fenêtre. Il n'y a pas eu de blessé. Lors de le perquisition, des produits stupéfiants auraient été saisis.
Les mis en cause, âgés entre 17 et 30 ans et domiciliés à Maurecourt et Sartrouville, devriaient faitre l'objet d'une procédure pour "violence avec arme en réunion et détention de produits stupéfiants". L'arme a été saisie le temps de l'enquête.
Vers 17 heures, le commissariat de police de Conflans est informé que des coups de feu ont été entendus rue Lucien Julia. Plusieurs équipages de policiers se rendent immédiatement à l'adresse indiquée par ce témoin. Un périmètre de sécurité est aussitôt établi autour de l'immeuble où, à l'arrivée des forces de l'ordre, de nouvelles détonations se font entendre.
Le RAID prêt à intervenir
Par précaution, le RAID, l'unité d'élite de la police nationale, est mis en pré-alerte mais il n'aura pas, finalement, à intervenir. En effet, l'un des suspects est interpellé par la BAC alors qu'il se trouve au rez-de-chaussée de l'immeuble. Un deuxième homme, son demi-frère, est appréhendé cinq minutes plus tard, également au bas des escaliers.
Les policiers effectuent ensuite une sécurisation de l'appartement d'où ont été tirés les coups de feu et interpellent deux autres suspects réfugiés dans la chambre. Sur une table basse, les gardiens de la paix découvrent un pistolet tirant des cartouches à blanc ou à gaz, ainsi qu'un chargeur et des cartouches.
Il reconnait avoir tiré
Au cours des auditions, en garde à vue, l'un des individus a reconnu avoir fait usage de l'arme par la fenêtre. Il n'y a pas eu de blessé. Lors de le perquisition, des produits stupéfiants auraient été saisis.
Les mis en cause, âgés entre 17 et 30 ans et domiciliés à Maurecourt et Sartrouville, devriaient faitre l'objet d'une procédure pour "violence avec arme en réunion et détention de produits stupéfiants". L'arme a été saisie le temps de l'enquête.