A Poissy, les forces de l’ordre ont fait usage d’un lanceur de balles de défense - Illustration
Des violences urbaines ont été signalées dans plusieurs communes des Yvelines, dans l’après-midi et la soirée d’hier, samedi.
De passage rue Fernand-Léger à Sartrouville, vers 16h40, un équipage de la brigade anticriminalité (Bac) a été la cible d’un jet de projectile par un individu qui a pris la fuite. Les policiers n’ont pas été touchés.
Un peu plus tard, toujours à Sartrouville, une pomme a été jetée des étages d’un immeuble de l’avenue de l’Europe. Le véhicule de police n’a pas été impacté. L’auteur n’a pas été identifié.
De passage rue Fernand-Léger à Sartrouville, vers 16h40, un équipage de la brigade anticriminalité (Bac) a été la cible d’un jet de projectile par un individu qui a pris la fuite. Les policiers n’ont pas été touchés.
Un peu plus tard, toujours à Sartrouville, une pomme a été jetée des étages d’un immeuble de l’avenue de l’Europe. Le véhicule de police n’a pas été impacté. L’auteur n’a pas été identifié.
LBD contre tirs de mortier à Poissy
Capture d'écran d'une vidéo publiée sur Twitter
A 17h50, à Poissy, un véhicule de la brigade spécialisée de terrain (BST) qui se rendait rue de Villiers pour un attroupement a été visé par des tirs de mortiers d’artifice. Les forces de l’ordre ont répliqué en tirant avec un lanceur de balles de défense (LBD) en direction d’un groupe d’une trentaine d’individus qui ont pris la fuite à l’arrivée des renforts.
Enfin, vers 20h45, la voiture de policiers en sécurisation avenue de la République, aux Mureaux, a été la cible d’un jet de pierre. Le pare-brise a été endommagé.
Enfin, vers 20h45, la voiture de policiers en sécurisation avenue de la République, aux Mureaux, a été la cible d’un jet de pierre. Le pare-brise a été endommagé.
La réaction d'un syndicat de commissaires aux événements de Poissy
"Tuez-les, Tuez-les!"
— Commissaires de Police SICP (@SICPCommissaire) February 13, 2021
Un guet-apens tendu à des #policiers.
Comme solution, la @Defenseurdroits promeut la création de zones sans contrôles d'identité, c'est à dire de "non droit".
Mme @clairehedon, ces habitants ne sont pas des sous-citoyens.
Ils ont le droit à la sécurité! pic.twitter.com/4H22LVYjIB