Illustration @ DGPN
Un vendeur à la sauvette qui avait été blessé grièvement, dimanche 29 avril, à Versailles (Yvelines) est décédé dans la soirée de mardi 1er mai.
L’homme, âgé d’une soixantaine d’années, avait été percuté vers midi par un fourgon de police rue Carnot dans la cité Royale. Il avait été transporté dans un hôpital parisien avec un pronostic vital engagé.
Repéré par un équipage de police, le vendeur à la sauvette avait été pris en chasse par des gardiens de la paix à pied, tandis que leur fourgon suivait leur progression à distance.
L’homme, âgé d’une soixantaine d’années, avait été percuté vers midi par un fourgon de police rue Carnot dans la cité Royale. Il avait été transporté dans un hôpital parisien avec un pronostic vital engagé.
Repéré par un équipage de police, le vendeur à la sauvette avait été pris en chasse par des gardiens de la paix à pied, tandis que leur fourgon suivait leur progression à distance.
Grièvement blessé à la tête
Apercevant qu’il était poursuivi, l’homme s’est mis à courir et a entrepris de traverser la rue Carnot alors qu’arrivait le fourgon de police. Percuté violemment et projeté sur la chaussée, ce dernier a été blessé grièvement à la tête.
Un des policiers qui le poursuivait a également été blessé : son pied droit a été écrasé par une roue du fourgon.
Une enquête a été ouverte afin d’établir précisément les circonstances de l’accident. Elle a été confiée à l’inspection générale de la police nationale (IGPN), plus communément appelée les « bœufs carottes ».
Un des policiers qui le poursuivait a également été blessé : son pied droit a été écrasé par une roue du fourgon.
Une enquête a été ouverte afin d’établir précisément les circonstances de l’accident. Elle a été confiée à l’inspection générale de la police nationale (IGPN), plus communément appelée les « bœufs carottes ».
L’hommage de ses proches et amis
A l’annonce du décès du vendeur à la sauvette, une vingtaine de personnes dont la sœur et des amis du défunt, s’est rassemblée dans le calme ce mercredi matin devant la grille principale du château place d’Armes et rue Carnot où s’est produit le drame.
L’occasion pour eux de rendre hommage à cet homme, originaire Sénégal qui vivait depuis une quinzaine d’années en France. Il gagnait sa vie en vendant des souvenirs aux touristes à l’entrée du château de Versailles.
A l’annonce du décès du vendeur à la sauvette, une vingtaine de personnes dont la sœur et des amis du défunt, s’est rassemblée dans le calme ce mercredi matin devant la grille principale du château place d’Armes et rue Carnot où s’est produit le drame.
L’occasion pour eux de rendre hommage à cet homme, originaire Sénégal qui vivait depuis une quinzaine d’années en France. Il gagnait sa vie en vendant des souvenirs aux touristes à l’entrée du château de Versailles.