L'homme retranché voulait qu'un négociateur du RAID vienne le voir chez lui à Élancourt (illustration@DGPN)
Les policiers du RAID, l'unité d'élite de la police nationale a été placée en alerte très tôt ce mercredi matin en vue d'intervenir à Elancourt, dans les Yvelines. Mais ils n'ont pas eu à se déplacer.
A l'origine, l'appel téléphonique au poste de police de Trappes, peu avant 5h30, d'un homme qui déclare avoir piégé son appartement et menace de le faire sauter si un négociateur du RAID ne vient pas le voir, chez lui à Elancourt (square des Girondins).
Délires paranoïaques
A leur arrivée sur place, les forces de l'ordre parviennent à convaincre l'individu retranché de leur ouvrir sa porte. Le forcené est interpellé sans violences. Lors d'une rapide inspection, il s'est avéré que l'appartement n’était pas piégé. Seuls des fils dénudés ont été découverts sans présenter de danger.
Par précaution, le gaz de l’immeuble a été coupé et les locataires du troisième étage évacués. Toutefois, les services de police ont demandé l'intervention du service de déminage pour inspecter plus en avant l'appartement. Certains éléments retrouvés sur place ont ainsi permis d'établir que le quadragénaire avait fabriqué un dispositif explosif artisanal. Ce dernier a été neutralisé par les démineurs.
Selon une source proche de l'enquête, l'homme âgé de 43 ans semblait souffrir de délires paranoïaques. Il a été placé en garde à vue dans l'attente d’une expertise psychiatrique.
A l'origine, l'appel téléphonique au poste de police de Trappes, peu avant 5h30, d'un homme qui déclare avoir piégé son appartement et menace de le faire sauter si un négociateur du RAID ne vient pas le voir, chez lui à Elancourt (square des Girondins).
Délires paranoïaques
A leur arrivée sur place, les forces de l'ordre parviennent à convaincre l'individu retranché de leur ouvrir sa porte. Le forcené est interpellé sans violences. Lors d'une rapide inspection, il s'est avéré que l'appartement n’était pas piégé. Seuls des fils dénudés ont été découverts sans présenter de danger.
Par précaution, le gaz de l’immeuble a été coupé et les locataires du troisième étage évacués. Toutefois, les services de police ont demandé l'intervention du service de déminage pour inspecter plus en avant l'appartement. Certains éléments retrouvés sur place ont ainsi permis d'établir que le quadragénaire avait fabriqué un dispositif explosif artisanal. Ce dernier a été neutralisé par les démineurs.
Selon une source proche de l'enquête, l'homme âgé de 43 ans semblait souffrir de délires paranoïaques. Il a été placé en garde à vue dans l'attente d’une expertise psychiatrique.