Les plongeurs des sapeurs-pompiers de Seine-Maritime, épaulés par la gendarmerie fluviale de Grand-Quevilly, ont repêché dans la Seine le corps d'un homme ce lundi 22 avril peu avant 9 heures.
L'alerte a été donnée par un marinier qui a remarqué le corps qui flottait à hauteur de Hautot-sur-Seine, une commune du canton de Grand-Couronne, pas loin du CD51.
La thèse du suicide privilégiée
Le cadavre, qui semble avoir séjourné depuis plus d'une dizaine de jours dans l'eau, a été remonté à la surface. Les gendarmes ont retrouvé dans les poches de l'homme un document administratif qui a permis de l'identifier. Il s'agit d'un sexagénaire domicilié à Darnétal, près de Rouen, dont la disparition n'avait pas semble-t-il était signalée.
Le premier examen clinique du corps n'a pas permis à la cellule d'identification criminelle (CIC) de relever de traces suspectes de coups ou de blessures par arme à feu. Mais un examen approfondi va être réalisé dans les prochaines heures afin de vérifier l'origine de la mort de cet homme.
Dans l'immédiat, les enquêteurs de la brigade de Déville-lès-Rouen, en charge des investigations, privilégient la thèse du suicide.
L'alerte a été donnée par un marinier qui a remarqué le corps qui flottait à hauteur de Hautot-sur-Seine, une commune du canton de Grand-Couronne, pas loin du CD51.
La thèse du suicide privilégiée
Le cadavre, qui semble avoir séjourné depuis plus d'une dizaine de jours dans l'eau, a été remonté à la surface. Les gendarmes ont retrouvé dans les poches de l'homme un document administratif qui a permis de l'identifier. Il s'agit d'un sexagénaire domicilié à Darnétal, près de Rouen, dont la disparition n'avait pas semble-t-il était signalée.
Le premier examen clinique du corps n'a pas permis à la cellule d'identification criminelle (CIC) de relever de traces suspectes de coups ou de blessures par arme à feu. Mais un examen approfondi va être réalisé dans les prochaines heures afin de vérifier l'origine de la mort de cet homme.
Dans l'immédiat, les enquêteurs de la brigade de Déville-lès-Rouen, en charge des investigations, privilégient la thèse du suicide.