GUEURES (Seine-Maritime) - Une dispute conjugale a tourné au drame à Gueures, dans le canton de Bacqueville-en-Caux (Seine-Maritime). Peu avant 8 heures ce dimanche 27 octobre, le centre opérationnel et de renseignement de la gendarmerie (CORG) basé à Rouen a été alerté qu'un homme venait de se prendre après avoir frappé son épouse.
Des trous dans la tête
Lorsque les secours sont arrivés sur place, Jérôme L., âgé de 51 ans, avait cessé de vivre. Il s'était pendu avec une corde dans le garage de la propriété située ruelle de l'Usine. Son épouse, Claudine, âgée de 50 ans, la tête ensanglantée et inconsciente gisait dans la demeure. Elle présentait de nombreux trous au niveau de la tête, sans doute provoqués par un objet contondant. La victime, plongée dans un coma artificiel, a été transportée au centre hospitalier universitaire de Rouen sous escorte de la gendarmerie. Son pronostic vital est engagé.
Les enfants du couple, deux filles âgées de 15 et 21 ans, se sont réfugiés chez un voisin qui a donné l'alerte.
"Il faisait de la déprime"
“C’était un homme très sympathique. Lorsque j’ai perdu mon compagnon, il y a six ans, ils ne m’ont pas laissé tomber. J’allais souvent manger chez eux, il aimait beaucoup ses filles”, selon le témoignage d'une amie du couple à notre confrère Les Informations Dieppoises . Elle note que les choses allaient moins bien pour lui depuis six mois : “il faisait de la déprime, il était malade mais on continuait de se parler comme si de rien n’était. On ne sait pas ce qui se passe dans les ménages, vous savez”.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie afin de déterminer le mobile de cette dispute. Comme il est d'usage, la cellule d'identification criminelle (CIC) ,a procédé à des relevés d'indices sur la scène de crime.
Des trous dans la tête
Lorsque les secours sont arrivés sur place, Jérôme L., âgé de 51 ans, avait cessé de vivre. Il s'était pendu avec une corde dans le garage de la propriété située ruelle de l'Usine. Son épouse, Claudine, âgée de 50 ans, la tête ensanglantée et inconsciente gisait dans la demeure. Elle présentait de nombreux trous au niveau de la tête, sans doute provoqués par un objet contondant. La victime, plongée dans un coma artificiel, a été transportée au centre hospitalier universitaire de Rouen sous escorte de la gendarmerie. Son pronostic vital est engagé.
Les enfants du couple, deux filles âgées de 15 et 21 ans, se sont réfugiés chez un voisin qui a donné l'alerte.
"Il faisait de la déprime"
“C’était un homme très sympathique. Lorsque j’ai perdu mon compagnon, il y a six ans, ils ne m’ont pas laissé tomber. J’allais souvent manger chez eux, il aimait beaucoup ses filles”, selon le témoignage d'une amie du couple à notre confrère Les Informations Dieppoises . Elle note que les choses allaient moins bien pour lui depuis six mois : “il faisait de la déprime, il était malade mais on continuait de se parler comme si de rien n’était. On ne sait pas ce qui se passe dans les ménages, vous savez”.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie afin de déterminer le mobile de cette dispute. Comme il est d'usage, la cellule d'identification criminelle (CIC) ,a procédé à des relevés d'indices sur la scène de crime.