Les braqueurs du bar-hôtel Le Cadran sont repartis avec des paquets de cigarettes et le téléphone portable d'un client (Photo d'illustration)
Trois individus encagoulés, gantés et dont un d'entre eux exhibait une arme de poing ont braqué ce jeudi matin peu avant 7 heures, la gérante du bar-hôtel Le Cadran, situé à l'angle des rues Pierre-Corneille et de l'Eglise, à Grand-Quevilly, dans la banlieue de Rouen.
Les malfaiteurs ont attendu l'ouverture de l'établissement, à 6 h 45, pour passer à l'action. Ils ont fait irruption au moment où la gérante, âgée de 64 ans, dévérouillait la porte d'entrée.
Tandis que l'individu armé tenait en respect la commerçante et le client (il a demandé à ce dernier qui buvait un café de s'asseoir et de regarder vers la rue), les deux autres sont passés derrière le comptoir pour fouiller la caisse qui contenait que de la menue monnaie.
Les individus ont finalement dérobé une dizaine de paquets de cigarettes ainsi que le smartphone du client, et ont pris la fuite à pied.
Il n'y a pas eu de violence physique.
Un plan de recherches a été déployé immédiatement et le signalement des auteurs a été diffusé sur les ondes de la police. Les individus n'ont pas été retrouvés.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départemenale. L'identité judiciaire (IG) est allée sur place afin de procéder à des relevés d'indices et de traces pouvant permettre de confondre tôt ou tard les malfaiteurs.
Les malfaiteurs ont attendu l'ouverture de l'établissement, à 6 h 45, pour passer à l'action. Ils ont fait irruption au moment où la gérante, âgée de 64 ans, dévérouillait la porte d'entrée.
Tandis que l'individu armé tenait en respect la commerçante et le client (il a demandé à ce dernier qui buvait un café de s'asseoir et de regarder vers la rue), les deux autres sont passés derrière le comptoir pour fouiller la caisse qui contenait que de la menue monnaie.
Les individus ont finalement dérobé une dizaine de paquets de cigarettes ainsi que le smartphone du client, et ont pris la fuite à pied.
Il n'y a pas eu de violence physique.
Un plan de recherches a été déployé immédiatement et le signalement des auteurs a été diffusé sur les ondes de la police. Les individus n'ont pas été retrouvés.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départemenale. L'identité judiciaire (IG) est allée sur place afin de procéder à des relevés d'indices et de traces pouvant permettre de confondre tôt ou tard les malfaiteurs.