Les cambrioleurs ont été repérés grâce aux caméras de surveillance installées dans les locaux de Savec (photo d'illustration)
SEINE-MARITIME - Une fois de plus, le système d'alarme et la vidéosurveillance ont joué un rôle prédominant dans l'arrestation de trois cambrioleurs. Les faits se passent à la société Savec, un bureau d'études spécialisé dans la conception de projets de chauffage, plomberie et métallerie, route de Lyons à Saint-Léger-du-Bourg-Denis, dans la banlieue de Rouen.
Il est 4 h 40 dans la nuit de ce dimanche 2 novembre, lorsque l'alarme de l'entreprise se déclenche au siège de la société de télésurveillance basée à Dieppe. Le vigile de permanence jette immédiatement un coup d'oeil à l'écran de la vidéosurveillance qui lui permet de voir ce qui se passe chez son client. Il aperçoit alors, dans la pénombre, trois individus encagoulés et gantés qui se déplacent à l'intérieur des locaux.
Interpellés en flagrant délit
Il appelle aussitôt le Centre d'information et de commandement (CIC) qui gère les appels de police-secours à l'hôtel de police de Rouen. Plusieurs équipages de la brigade anti-criminalité (BAC), en patrouille dans le secteur, se rendent à l'endroit signalé. Tandis qu'ils longent discrètement le mur du bâtiment, ils distinguent trois individus sortant précipitamment des locaux et qui prennent la direction d'une entreprise voisine. A cet instant, les policiers en civil déclinent leur fonction mais les suspects s'enfuient. Ils sont finalement localisés dans la cour de l'entreprise : ils sont "planqués" entre des planches de bois.
Les trois hommes, âgés de 18, 19 et 15 ans, sont interpellés en flagrant délit et ramenés à l'hôtel de police pour y être placés en garde à vue. Le plus âgé est ce qu'on appelle "un multirécidiviste" bien connu des forces de l'ordre et de la justice.
Filmés par la vidéosurveillance
Les premières investigations permettent d'établir que les cambrioleurs sont entrés dans l'enceinte de Savec après avoir franchi un grillage et le portail. Ils ont ensuite brisé la vitre d'une fenêtre pour pénétrer à l'intérieur des locaux. Dans la place, ils ont arraché les deux boîtiers du système d'alarme (dans un couloir et le hall d'entrée), fouillé les bureaux d'étude. A l'étage, ils ont cassé une baie vitrée en projetant contre elle un porte manteau métallique. Ils ne savaient pas toutefois qu'ils étaient filmés par les caméras de vidéosurveillance...
Les trois cambrioleurs présumés ont finalement été remis en liberté à l'issue de leurs auditions sur instruction du magistrat de permanence au parquet de Rouen.
Il est 4 h 40 dans la nuit de ce dimanche 2 novembre, lorsque l'alarme de l'entreprise se déclenche au siège de la société de télésurveillance basée à Dieppe. Le vigile de permanence jette immédiatement un coup d'oeil à l'écran de la vidéosurveillance qui lui permet de voir ce qui se passe chez son client. Il aperçoit alors, dans la pénombre, trois individus encagoulés et gantés qui se déplacent à l'intérieur des locaux.
Interpellés en flagrant délit
Il appelle aussitôt le Centre d'information et de commandement (CIC) qui gère les appels de police-secours à l'hôtel de police de Rouen. Plusieurs équipages de la brigade anti-criminalité (BAC), en patrouille dans le secteur, se rendent à l'endroit signalé. Tandis qu'ils longent discrètement le mur du bâtiment, ils distinguent trois individus sortant précipitamment des locaux et qui prennent la direction d'une entreprise voisine. A cet instant, les policiers en civil déclinent leur fonction mais les suspects s'enfuient. Ils sont finalement localisés dans la cour de l'entreprise : ils sont "planqués" entre des planches de bois.
Les trois hommes, âgés de 18, 19 et 15 ans, sont interpellés en flagrant délit et ramenés à l'hôtel de police pour y être placés en garde à vue. Le plus âgé est ce qu'on appelle "un multirécidiviste" bien connu des forces de l'ordre et de la justice.
Filmés par la vidéosurveillance
Les premières investigations permettent d'établir que les cambrioleurs sont entrés dans l'enceinte de Savec après avoir franchi un grillage et le portail. Ils ont ensuite brisé la vitre d'une fenêtre pour pénétrer à l'intérieur des locaux. Dans la place, ils ont arraché les deux boîtiers du système d'alarme (dans un couloir et le hall d'entrée), fouillé les bureaux d'étude. A l'étage, ils ont cassé une baie vitrée en projetant contre elle un porte manteau métallique. Ils ne savaient pas toutefois qu'ils étaient filmés par les caméras de vidéosurveillance...
Les trois cambrioleurs présumés ont finalement été remis en liberté à l'issue de leurs auditions sur instruction du magistrat de permanence au parquet de Rouen.