Un surveillant du centre de détention des Vignettes à Val-de-Reuil (Eure) a été victime de violences de la part d'un détenu.
Les faits sont survenus ce lundi 2 février. "Au moment des douches, un détenu au lourd passé pénitentiaire exige de pouvoir récupérer un objet avec un codétenu ! Le collègue du probatoire lui refuse cet échange et s'interpose alors devant le détenu... Ce dernier bouscule violemment le surveillant puis lui assène un coup de tête au niveau du visage. Le collègue tombe et se blesse également au niveau du dos", témoigne Nicolas Bihan, délégué interrégional et secrétaire local du Syndicat pénitentaire des surveillants non gradés (SPS)de Val-de-Reuil.
15 jours d'arrêt de travail
L'auteur des violences a été maîtrisé et placé en prévention au quartier disciplinaire. Le surveillant s'est vu prescrire, quant à lu, quinze jours d'incapacité totale de travail (ITT). Il devait déposer plainte dès sa sortie de l'hôpital.
"Pour le SPS, il est hors de question que cette agression soit banalisée et exige des sanctions administratives et judiciaires à la hauteur de ces actes," prévient Nicolas Bihan, qui "félicite les surveillants pour leur promptitude et les encourage à déposer plainte lors d'agressions et à demander la protection statutaire". Selon lui, "la Justice doit être informée de ces faits".
Les faits sont survenus ce lundi 2 février. "Au moment des douches, un détenu au lourd passé pénitentiaire exige de pouvoir récupérer un objet avec un codétenu ! Le collègue du probatoire lui refuse cet échange et s'interpose alors devant le détenu... Ce dernier bouscule violemment le surveillant puis lui assène un coup de tête au niveau du visage. Le collègue tombe et se blesse également au niveau du dos", témoigne Nicolas Bihan, délégué interrégional et secrétaire local du Syndicat pénitentaire des surveillants non gradés (SPS)de Val-de-Reuil.
15 jours d'arrêt de travail
L'auteur des violences a été maîtrisé et placé en prévention au quartier disciplinaire. Le surveillant s'est vu prescrire, quant à lu, quinze jours d'incapacité totale de travail (ITT). Il devait déposer plainte dès sa sortie de l'hôpital.
"Pour le SPS, il est hors de question que cette agression soit banalisée et exige des sanctions administratives et judiciaires à la hauteur de ces actes," prévient Nicolas Bihan, qui "félicite les surveillants pour leur promptitude et les encourage à déposer plainte lors d'agressions et à demander la protection statutaire". Selon lui, "la Justice doit être informée de ces faits".